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Personnages d'Auvergne et de la Loire
Vercingétorix

Né en -80 en Auvergne - Décédé en -46 à Rome

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Fils du chef gaulois de la tribu des Arvernes, Celtillos. Il fédère la plupart des peuples gaulois et leurs chefs pour tenter de repousser le général romain Jules César, allié des quelques autres tribus gauloises, à la fin de la guerre des Gaules (-58 à -51). Vaincu à Alésia en -52, il est emprisonné, puis, six ans plus tard, exécuté à Rome à la suite du triomphe de César.

Vercingétorix, dont le nom, prononcé « Ouèrkinnguétorix », signifie « puissant guerrier » (Vercingeto) et « roi » (Rix), est l'un des premiers chefs ayant réussi à fédérer une partie importante des peuples gaulois, en montrant de réels talents militaires face à l'un des plus grands stratèges de son temps, Jules César.

Grégoire de Tours, ou Georges Florent Grégoire

Né en 539 à Urbs Arverna (aujourd'hui Clermont-Ferrand) - Décédé en 594 à Tours

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Il est issu, par son père Florent (Florentius), d'une famille aristocratique arverne. C'est une des premières familles à s'être converti au christianisme et Grégoire peut compter un martyr et 6 évêques dans sa famille. Deux d'entre eux joueront même un grand rôle dans son éducation et son accession au siège épiscopal.

Durant sa jeunesse, il est sujet à divers maux : un pèlerinage sur le tombeau de saint Martin à Tours (en 562 ou 563) l'aurait, d'après la légende, guéri de l'un d'entre eux.

Il est élu évêque de Tours, en 573, probablement à l'instigation de la reine Brunehilde et du roi d'Austrasie, Sigebert Ier. Grégoire prend alors en charge l'un des plus importants sièges épiscopaux de Gaule.

Gerbert Pape Sylvestre II

Né entre 945 et 950 à Saint-Simon (Cantal) - Décédé le 12 mai 1003 à Rome

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Pape sous le nom de Sylvestre II de 999 à 1003, est un philosophe, un mathématicien et un mécanicien. Il favorise l'introduction et l'essor en Occident de la numération de position, des tables d'opérations et des chiffres dits arabes.

Il œuvre à restaurer un empire universel sur les bases de l'Empire carolingien. Dans ce but, - Otton III dont il fut le précepteur - favorise son élection au Saint-Siège. Il est un acteur scientifique et politique majeur du renouveau de l'Occident médiéval de l'an mille..

Michel de L'Hospital

Né en 1504 à Aigueperse (Puy-de-Dôme) - Décédé le 13 mars 1573 à à Boutigny-sur-Essonne

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Ami des humanistes et des poètes de la Pléiade, Michel de L'Hospital, chef du parti des « Politiques », nommé chancelier de France en 1560 par la reine-mère Catherine de Médicis, Michel de L'Hospital tente mais en vain de réconcilier catholiques et protestants. Le massacre de la Saint-Barthélemy consacre son échec...

Blaise Pascal

Né en 1623 à Clermont (Puy-de-Dôme) - Décédé le 19 aoû;t 1662 à Paris

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Blaise Pascal est une météorite dans l'Histoire de la pensée. Mort d'épuisement et de maladie à seulement 39 ans, il laisse une œuvre prodigieusement féconde tant dans le domaine des sciences que dans celui de la philosophie. Il est aussi l'inventeur d'une machine à calculer, la « pascaline », et même des premiers omnibus. Il a enrichi les lettres françaises avec des écrits spirituels et mystiques aux antipodes des préoccupations contemporaines, ce qui fait de lui le cauchemar des collégiens !

Gilbert de La Fayette

Né le 6 septembre 1757 à Chavagnac (Cantal) - Décédé le 20 mai 1834 à Paris

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Le marquis Gilbert Motier de La Fayette (on écrit aussi Lafayette), « héros des deux Mondes », demeure après plus de deux siècles le principal trait d'union entre la France et les États-Unis.

Mais son rôle historique ne se résume pas à ses années de jeunesse passées à combattre aux côtés des « Insurgents » américains. Il a aussi joué un rôle moteur dans les débuts de la Révolution française et à nouveau dans la révolution des Trois Glorieuses qui vit le remplacement de Charles X par Louis-Philippe 1er à la tête de la France...

Louis Desaix

Né le 17 août 1768 à Saint-Hilaire d'Ayat, (actuellement Ayat-sur-Sioule), Puy-de -Dôme - Décédé le 14 juin 1800 à Marengo (Italie)

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Né sous le nom de Louis des Aix de Veygoux, dans une famille de petite noblesse. Il s'engage dès l'âge de 15 ans avec le grade de sous-lieutenant au régiment de Bretagne-Infanterie.

Il dédaigne de suivre ses frères dans l'exil quand éclate la Révolution et reçoit son baptême du feu sous le nom de Desaix. Il devient général de brigade mais, suspect car d'origine noble, il échappe de peu à la guillotine sous la Terreur.

Enthousiasmé par les exploits de Bonaparte en Italie, il le rejoint. L'entente est parfaite entre les deux hommes. Desaix participe bien sûr à l'expédition d'Égypte

Le 13 juin 1800, son corps d'armée se poste sur la Bormida pour surveiller les Autrichiens en direction de Novi. Le lendemain, entendant le fracas d'une bataille, il « marche au canon » et arrive tout juste à temps pour sauver Bonaparte d'une défaite inéluctable à Marengo.

Jules Vallès

Né le 11 juin 1832 au Puy-en-Velay (Haute-Loire) - Décédé le 14 février 1885 à Paris

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Jules Vallès a écrit une trilogie romanesque largement autobiographique centrée autour d'un personnage que Vallès nomme Jacques Vingtras : le premier tome s'appelle L'Enfant ; l'auteur évoque sa jeunesse entre un père professeur et une mère fille de paysans, période de sa vie qu'il présente comme pauvre et malheureuse.

En 1839, Jules entre au collège du Puy, et en 1840, au collège de Saint-Étienne. Ensuite, il prépare l'agrégation de grammaire et est admissible en 1845. Il est alors nommé professeur au Collège royal de Nantes. Il sera reçu à l'agrégation en 1847.

À partir de février 1848, Jules Vallès participe activement aux événements révolutionnaires. Il propose un programme radical : suppression du baccalauréat, des examens, « liberté absolue de l'enfance », etc. Durant la Commune, Jules Vallès intervient contre les arbitraires, pour la liberté de la presse. Le Cri du Peuple fut le journal le mieux vendu de cette période. Vallès siégea d'abord à la commission de l'enseignement, puis à celle des relations extérieures.

Emmanuel Chabrier

Né le 18 janvier 1841 à Ambert (Puy-de-Dôme) - Décédé le 13 septembre 1894 à Paris

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est un compositeur romantique français. Bien que principalement connu pour deux de ses œuvres orchestrales, España et Joyeuse Marche, il composa de nombreux opéras, pièces pour piano et chansons. Ses créations, de grande qualité, étaient admirées de nombreux compositeurs, comme Debussy, Ravel, Satie, Richard Strauss, ou encore Stravinsky.

Chabrier était ami avec beaucoup d'écrivains et de peintres de son temps, tels que Claude Monet, Edouard Manet, Emile Zola ou encore Alphonse Daudet, avec qui il entretenait une grande amitié. Admirateur des peintres impressionnistes, il acheta de nombreuses toiles, dont certaines sont aujourd'hui exposées dans les plus grands musées du monde.

Jules Massenet

Né le 12 mai 1842 à Montaud (aujourd'hui quartier de Saint-Étienne)(Loire) - Décédé le 13 août 1912 à Paris

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Fils d'un industriel fabriquant des lames de faux à Pont-Salomon, près de Saint-Étienne, Jules-Émile-Frédéric est le benjamin d'une famille de douze enfants. Sa famille déménage à Paris en 1848, lorsqu'il a six ans et sa mère lui donne ses premières leçons de piano. Il entre au Conservatoire de Paris à l'âge de onze ans où il étudie le piano, l'orgue, le solfège et le contrepoint, l'harmonie et la composition. Il rencontre Franz Liszt qui le prend en affection.

À Paris et fait jouer son opéra La Grand-Tante en 1867. Il prend part à la guerre de 1870. Ensuite il connaît ses premiers succès avec la suite symphonique Pompéia, l'oratorio Marie-Madeleine en 1873, et les opéras Don César de Bazan, Le Roi de Lahore. Il entre à l'âge de trente-six ans à l'Académie des beaux-arts. C'est le plus jeune des académiciens.

Ses journées commençaient à quatre heures du matin, alternant compositions, enseignements et auditions. Il a laissé une œuvre essentiellement lyrique mais aussi pianistique et symphonique. Très sensible aux sujets religieux, il a souvent été considéré comme l'héritier de Charles Gounod. L'influence de Massenet se ressent chez de nombreux compositeurs. Ne dédaignant pas les mondanités, c'était pourtant au fond un grand mélancolique qui avait besoin d'être amoureux de l'héroïne ou de l'interprète de ses œuvres.

André Chantemesse

Né le 13 octobre 1851 au Puy-en-Velay (Haute-Loire) - Décédé le 25 février 1919 à Paris

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Il entame ses études de médecine tardivement, en 1876, à l'âge de 25 ans, à l'École de médecine de Paris. En 1884, il soutient sa thèse de doctorat, Étude sur la méningite tuberculeuse de l'adulte : les formes anormales en particulier. L'année suivante, il est envoyé à Berlin par le ministère de l'Instruction publique en mission d'étude au laboratoire bactériologique de Robert Koch, qui venait d'isoler, en 1882, le bacille de la tuberculose, plus tard appelé bacille de Koch.

À son retour, en 1886, il entreprend des travaux sur la fièvre typhoïde, ce qui lui permet de mettre en lumière trois faits nouveaux pour l'époque : les épidémies de fièvre typhoïde coïncident avec les distributions d'eau de la Seine à Paris (1887) ; En 1888, avec Fernand Widal, il met au point le vaccin contre la typhoïde, connu sous le nom de sérum de Chantemesse.

En 1890, il devient membre de l'Assemblée de l'Institut Pasteur et soigne Louis Pasteur pendant les dernières années de sa vie. En 1897, il est nommé professeur de pathologie expérimentale et comparée à la faculté de médecine de Paris. Élu membre de l'Académie de médecine en 1901, il fonde et dirige à partir de 1906 une revue mensuelle, L'hygiène générale et appliquée.

Paul Doumer

Né le 22 mars 1857 à Aurillac (Cantal) - Décédé le 7 mai 1932 à Paris

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Enseignant de 1879 à 1883, il quitte l'enseignement pour raisons de santé et devient rédacteur en chef du journal Le Courrier de l'Aisne à Saint-Quentin.

Aux élections municipales de 1885, il devient conseiller municipal. Réélu à Laon en 1888, battu en 1889, élu à Auxerre de 1890 à 1893. Ministre des Finances en 1895/1896.

Gouverneur général de l'Indochine de 1896 à 1902 : achève le port de Haïphong, Hanoï est la première ville d'Asie à avoir l'électricité, construit un sanatorium à Dalat, légalise le monopole de l'opium, très rentable pour le budget de la colonie. Sa principale réalisation est le chemin de fer du Yunnan. Son autoritarisme et l'apparition de tensions avec la Chine, dans le contexte très tendu de la guerre des Boxers entraînent son rappel en métropole.

Il préside le Sénat de janvier 1927 jusqu'en juin 1931, date à laquelle il est investi de ses fonctions présidentielles. Sa carrière culmine avec son élection à la présidence de la République le 13 mai 1931. Il est assassiné un an plus tard, en 1932, par un jeune émigré russe.

Pierre Girauld de Nolhac, dit Pierre de Nolhac

Né le 15 décembre 1859 à Ambert (Puy-de-Dôme) - Décédé le 31 janvier 1936 à Paris

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Après des études au Puy-en-Velay, à Rodez et à Clermont-Ferrand, Pierre de Nolhac se rend à Paris en 1880 pour préparer une licence de lettres à la Sorbonne et à l'École pratique des hautes études. Membre de l'École française de Rome en 1882, il y travaille notamment sur l'humanisme italien du XVIe siècle. il en devient le conservateur du musée de Versailles, en 1892. Son action au musée du château de Versailles a été déterminante, puisqu'il a largement contribué à sa modernisation et à en reconstituer les collections, notamment celle du mobilier, qui avait été dispersée pendant la Révolution française. Il joua également un rôle important dans les préparatifs de la signature du traité de Versailles qui eut lieu dans le château en juin 1919.

Marie Marvingt

Née le 20 février 1875 à Aurillac (Cantal) - Décédée le 14 décembre 1963 à Laxou (Meurthe-et-Moselle),

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Surnommée « la fiancée du danger », est une pionnière de l'aviation en France et l'une des meilleures alpinistes du début du siècle dernier. Licenciée en lettres et parlant sept langues, elle était titulaire de trente-quatre décorations dont la Légion d'honneur et la Croix de guerre avec palmes.

C'est une grande sportive dont l'une des devises est « Je décide de faire mieux encore et toujours » lui permettant d'être détentrice de dix-sept records mondiaux et de devenir la femme la plus décorée.

Elle est parmi les premières femmes titulaires du permis de conduire, qu'elle obtient dès 1899. Elle passe également quatre brevets de pilote (ballon en 1909, avion et hydravion en 1910, hélicoptère en 1961 ainsi que celui de dirigeable). Elle établit de nombreux records dont celui du plus grand nombre de vols sans le moindre accident. Effectuant son premier vol accompagné dès 1901, elle effectue son premier vol en solo le 19 juillet 1907. Le 26 octobre 1909, elle devint la première femme à piloter un aérostat à travers la mer du Nord et la Manche de l'Europe continentale vers l'Angleterre. Son ballon portait pour nom L'Étoile filante et décolla du parc de la Pépinière à Nancy.

Elle invente l'aviation sanitaire en 1910. En 1960, âgée de quatre-vingt-cinq ans, elle pilote le premier et seul hélicoptère à réaction du monde, le Djinn.

Pierre Teilhard de Chardin

Né le 1er mai 1881 à Orcines (Puy-de-Dôme) - 10 avril 1955 à New York

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Scientifique de renommée internationale, considéré comme l'un des théoriciens de l'évolution les plus remarquables de son temps, Pierre Teilhard de Chardin est à la fois un géologue spécialiste du Pléistocène et un paléontologiste spécialiste des vertébrés du Cénozoïque. L'étendue de ses connaissances lui permet de comparer les premiers hominidés, tout juste découverts, aux autres mammifères, en constatant l'encéphalisation propre à la lignée des primates anthropoïdes.

Pierre Teilhard de Chardin est issu d'une très ancienne famille auvergnate de magistrats originaire de Murat, et d'une branche qui a été anoblie sous le règne de Louis XVIII. De 1892 à 1897, il fait ses études au collège jésuite de Notre-Dame de Mongré à Villefranche-sur-Saône. En 1899, il entre au noviciat jésuite d'Aix-en-Provence. Doué pour les sciences, il devient professeur de physique de 1905 à 1908

En 1926, il retourne en Chine et joue un rôle actif dans la découverte et l'étude scientifique du sinanthrope. Il participe en 1931 à la croisière jaune.

Henri Mondor

Né le 20 mai 1885 à Saint-Cernin (Cantal) - Décédé le 6 avril 1962 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine)

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Fils d'instituteur, Henri Mondor fit ses premières études à l'école de Saint-Germain, puis au lycée d'Aurillac. Après ses humanités et malgré une précoce attirance pour les lettres, il entama, poussé par sa mère, des études de médecine.

Après la Première Guerre mondiale, qu'il effectua comme infirmier, il obtint la médaille d'or de l'internat et fut nommé, en 1920, chirurgien des hôpitaux. Agrégé en 1923, il obtint en 1938 le titre de professeur de faculté, et en 1941 celui de professeur de clinique. Chirurgien de premier ordre, Henri Mondor publia plusieurs ouvrages consacrés à la chirurgie des viscères.

Grand prix de la critique de l'Académie française, membre de l'Académie de médecine en 1945, et de l'Académie des sciences en 1961, membre également de l'académie de chirurgie, Henri Mondor fut élu à l'Académie française en 1946 au fauteuil n°38.

Louis Henri Jean Farigoule, dit Jules Romains

Né le 26 août 1885 à Saint-Julien-Chapteuil (Haute-Loire) - Décédéle 14 août 1972 à Paris

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Élève du lycée Condorcet et de l'École normale supérieure, rue d'Ulm, il est agrégé de philosophie en 1909.

Sa carrière universitaire l'emmène à Brest, Laon puis au lycée de Nice (aujourd'hui lycée Masséna) où il enseigne la philosophie de 1917 à 19191. En 1927, il signe la pétition contre la loi sur l'organisation générale de la nation pour le temps de guerre, qui abroge toute indépendance intellectuelle et toute liberté d'opinion. Entre 1935 et 1939, il participe au comité France-Allemagne, animé par Otto Abetz, plus par pacifisme que par convictions politiques. Il rompra en 1939. Pendant la Seconde Guerre mondiale il s'exile aux États-Unis, où il s'exprime parfois à la radio (Radio Boston ou Voice of America).

Auteur polygraphe, il est élu à l'Académie française en 1946, au fauteuil 12.

Marx Dormoy

Né le 1er aoû;t 1888 à Montluçon (Allier) - Décédé le 26 juillet 1941 à Montélimar (Drôme).

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Il est le fils d'un cordonnier, militant socialiste. Pendant son service militaire, il est affecté en Algérie, où il fonde un groupe de Jeunesses socialistes. Il est ensuite employé à la mairie de Montluçon, puis, après la Première Guerre mondiale, où il combat, devient représentant de commerce.

Réélu député en 1936, il est sous-secrétaire d'État à la présidence du Conseil et participe à la négociation des Accords de Matignon. Après le suicide de Roger Salengro, il devient ministre de l'Intérieur, poste qu'il conserve dans les cabinets successifs. Il mène une politique vigoureuse de refoulement des réfugiés politiques clandestins.

En juillet 1940, il fait partie des 80 parlementaires refusant de voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain. Le 20 septembre 1940, il est suspendu de ses fonctions de maire de Montluçon, puis emprisonné cinq jours plus tard. Il est incarcéré à Pellevoisin, puis à Vals-les-Bains avant d'être mis en résidence surveillée à Montélimar.

Georges Pompidou

Né le 5 juillet 1911 à Montboudif (Cantal - Décédé le 2 avril 1974 à Paris

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Né dans un ménage d'instituteurs, Georges Pompidou reste le seul président de la Ve République d'origine populaire. Sa disparition, à 63 ans, coïncide en France avec la fin des « Trente glorieuses », selon l'expression de l'économiste Jean Fourastié pour désigner les 30 années de l'après-guerre...


Mise en ligne : 01/05/2014 - Dernière mise à jour : 14/12/2016