Ephéméride
Paulin
11 janvier

Conseiller de l'empereur Charlemagne, le saint du jour fut nommé patriarche d'Aquilée, en Italie du Nord.

Source Hérodote

22e jour du mois nivôse dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du sel.

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21e jour du Capricorne.

Prénoms du jour

Bonne fête aux Paulin et ses dérivés : Pauline, Paulinien, Pauline-Marie, etc.
et aussi aux Hernin et ses dérivés bretons : Harn, Hern, Thernen, etc.
Hortense et ses dérivés : Hortensia, Orthense, Ourtensi, etc.
Hygin.

Elles se prénomment aussi Pauline

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Elles se prénomment aussi Hortense

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Événements

  • 49 avant J.-C. : Jules César franchit le Rubicon
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    Défiant le Sénat de Rome, Jules César traverse le Rubicon avec son armée. Le récit de cette aventure nous a été transmis par l'historien Suétone, qui nous a légué la formule : « Iacta esto alea », ou, selon l'opinion commune, « Alea jacta est » (Les dés sont jetés)...

  • 1851 : Révolte des Taiping
  • Le jour de son trente-huitième anniversaire, Hung se proclame « Roi céleste de la Grande Paix ». Ce Chinois qui s'est converti au protestantisme va prendre la tête de la révolte des Taiping, au Kwangsi, une province arriérée et montagneuse de l'ouest de Canton. Cette jacquerie du désespoir illustre le déclin de la dynastie mandchoue qui gouverne la Chine depuis 1644...

  • 1892 : Méline fait voter la loi protectionniste du double tarif
  • Le président de la Chambre des députés Jules Méline fait adopter le 11 janvier 1892 le double tarif douanier avec un taux ordinaire et un taux préférentiel pour les états qui concèdent à la France des avantages douaniers équivalents.

    Cette « loi Méline » a pour objectif de protéger les agriculteurs français contre les importations à bas prix de produits agricoles. Elle clôt l'épisode de libre-échange inauguré avec le traité de libre-échange de 1860 mais aussi la « grande dépression européenne » (1873-1892).

  • 1923 : Les Français occupent la Ruhr
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    En Allemagne, 60 000 soldats français et belges pénètrent dans le bassin de la Ruhr pour obliger l'Allemagne à verser les réparations de guerre inscrites dans le traité de Versailles.

    Le chancelier allemand Wilhelm Cuno proteste et appelle ses concitoyens à la « résistance passive ». Il s'ensuit une dévaluation massive du mark et des troubles politiques. L'année 1923 aura mérité d'être qualifiée par les Allemands d'« année inhumaine »...

  • 1994 : Dévaluation du franc CFA
  • Le gouvernement français d'édouard Balladur décide courageusement de dévaluer de moitié le franc C.F.A (franc des Colonies françaises d'Afrique et aujourd'hui franc de la Communauté financière africaine)...

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    Naissances

  • Alexander Hamilton
    Né en 1757 à Nevis (Antilles britanniques) - Décédé le 12 juillet 1804 à New York (États-Unis)
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    L'un des fondateurs des États-Unis, a animé le courant fédéraliste dans les années qui ont suivi l'indépendance. à ce titre, il s'est fait le champion de l'industrialisation du pays et du renforcement du pouvoir central.

    Il rédige en 1787 et 1788 la plupart des Federalist Papers (Le Fédéraliste en français) qui vont inspirer les rédacteurs de la Constitution des États-Unis. Premier secrétaire au Trésor (ministre des Finances) dans le gouvernement des états-Unis, sous la présidence de George Washington, il crée le 4 juillet 1791 la Banque fédérale (Bank of the United States), embryon de banque centrale.

    Il est tué en duel par un individu peu recommandable, le vice-président américain Aaron Burr. ■

  • Antoine_Drouot
    Né en 1774 à Nancy - Décédé le 24 mars 1847 à Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Général d'artillerie français du Premier Empire, pair de France. Napoléon Ier dira de lui : « Il n'existait pas deux officiers dans le monde pareils à Murat pour la cavalerie et à Drouot pour l'artillerie. »

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    Antoine Drouot est né d'un père boulanger. Il était le troisième enfant d'une famille très pieuse et aux revenus modestes, qui en comptera douze. Admis à l'école des Frères des écoles chrétiennes, son ardeur au travail et son intelligence furent remarquées par le supérieur.

    Il entra en 1793 à l'école d'artillerie de Châlons-en-Champagne en qualité d'élève sous-lieutenant au bout d'un mois il est nommé lieutenant en second au 1er régiment d'artillerie basé à Metz. Participant à de nombreux combats, il est nommé lieutenant en premier. Affecté à l'armée de Sambre-et-Meuse, il participe à la bataille de Fleurus. Nommé capitaine, il est envoyé à Bayonne à la fin de la même année en tant que directeur de l'artillerie.

    Il est nommé à l'état-major du général Eblé commandant l'artillerie de l'armée du Rhin. à ce titre, il prend part à la bataille de Hohenlinden en 1800. En 1804, il participe à l'expédition vers les Antilles. Un premier combat opposant l'Hortense à trois vaisseaux anglais. Il échappa de peu au désastre de Trafalgar en recevant, au moment d'une ultime escale à Cadix, l'ordre de rejoindre la Grande Armée.

    C'est en juin 1809, au cours d'une revue au château de Schönbrunn en Autriche, que Napoléon remarque Drouot. L'attitude du colonel-major et ses réponses précises et pertinentes, tant sur le matériel que sur la stratégie le stupéfient. Pendant la bataille de Wagram, la terrible canonnade commandée par Drouot est déterminante et lui vaut d'être élevé au grade d'officier de la Légion d'honneur. Il participe à la campagne de Russie et à la bataille de la Moskova. Pendant la tragique retraite de Russie qui s'ensuit, son courage et sa détermination le font à nouveau remarquer par l'empereur. Il est nommé général de brigade et aide de camp de l'empereur.

    Pendant la campagne de France, il défend pied à pied le territoire français. Il est aux côtés de l'empereur au moment de son abdication à Fontainebleau. Pour partir en exil Napoléon choisi trois généraux : Drouot, qu'il nomme gouverneur de l'île d'Elbe, Cambronne pour commander sa garde et Bertrand pour diriger le Palais et l'administration.

    Il accompagne l'empereur à son retour en France en 1815. Il fait à la bataille de Waterloo des efforts incroyables, se retire après le désastre au-delà de la Loire à la tête de la garde impériale et sait contenir cette troupe qu'on craignait encore et aide à la licencier.

    Il ne s'en voit pas moins proscrit par Louis XVIII, et traduit devant un conseil de guerre, mais il est acquitté. Drouot a refusé tout service et tout traitement. En 1824, il accepte une pension de retraite qui lui est offerte par le gouvernement en récompense de ses services. ■

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  • Pierre Mendès France
    Né en 1907 à Paris - 18 octobre 1982 à Paris
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    Député radical-socialiste de l'Eure dès 1932, Pierre Mendès France, d'une intégrité exemplaire, s'oppose en 1940 au maréchal Pétain et à la collaboration avec l'occupant nazi. Il tente de gagner le Maroc à bord du Massalia mais se fait arrêter par la police de Vichy.
    Évadé en 1942, il gagne Londres et devient ministre de l'économie nationale dans le gouvernement provisoire du général de Gaulle. Mais à la Libération, il démissionne après le refus de De Gaulle de procéder à un échange des billets en circulation (comme en Belgique), pour piéger les trafiquants et taxer les fortunes des anciens collaborateurs. ■

  • Bernard Blier
    Né en 1916 à Buenos Aires - Décédé le 29 mars 1989 à Saint-Cloud
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    Bernard mène des études sans enthousiasme au lycée Condorcet. Abandonnant petit à petit ses études, il commence à prendre des cours de théâtre en 1931.

    Il se produit pour la première fois sur scène en 1934 à La Ciotat devant une salle à moitié pleine. Ensuite, il s'inscrit au Conservatoire, à Paris, où il intègre la classe de Louis Jouvet. Après trois échecs, il est enfin reçu en 1937. C'est au Conservatoire qu'il fait la rencontre de deux grandes personnalités qui resteront ses amis : François Périer et Gérard Oury.

    Il fait quelques apparitions au théâtre puis au cinéma jusqu'à Hôtel du Nord, réalisé par Marcel Carné en 1938, avec Arletty et Louis Jouvet. Au mois d'avril 1938, il épouse Gisèle. Il tourne ensuite Le jour se lève, en 1939, avec Jean Gabin. C'est le début d'une longue amitié entre les deux hommes.

    Suite à l'invasion du 10 mai 1940, il est fait prisonnier, il sera interné dans un camp en Autriche (le Stalag XVII-A). Après un an, il perd 27 kilos et se fait rapatrier comme sanitaire. Des amis comme Christian-Jaque, Claude Autant-Lara et Marcel Achard lui permettent de survivre en lui offrant des petits rôles au cinéma ainsi qu'au théâtre. à la Libération, il enchaîne film sur film et, chaque soir, il se produit au théâtre et fait des interventions à la radio.

    Il lui faudra attendre le début des années 1960 pour obtenir des rôles à sa mesure. En 1958, le cinéma italien fait appel à lui et lui donne des rôles dramatiques dignes de son talent. Il tournera plus de trente films dans ce pays. Sa collaboration avec Georges Lautner, Henri Verneuil et Michel Audiard, qui lui écrit des textes « cousus main », en fait un acteur incontournable du cinéma français.

    Les années 1960 sont celles de la réussite. Des rôles inoubliables dans des films devenus classiques. Il donne la réplique aux plus grands (Jean Gabin, Jean-Paul Belmondo, Lino Ventura, Louis de Funès) dans des tournages qui se passent dans la bonne humeur et l'amitié. Il tourne aussi dans des films sans prétention où il excelle dans les rôles de gangsters maladroits aux côtés de son complice Jean Lefebvre (Les Tontons flingueurs, Le cave se rebiffe, Quand passent les faisans, Du mou dans la gâchette, C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule).

    Il tourne en compagnie de Pierre Richard et Jean Yanne et crée un nouveau rôle, celui du comique méchant. En 1976, il est remonté sur les planches et a créé à vos souhaits au théâtre des Champs-Élysées. En 1981, il joue Le Nombril de Jean Anouilh au théâtre de l'Atelier à Paris.

    Les années 1980 se passent surtout en Italie où il est considéré comme un mythe.Il est récompensé d'un Donatello du meilleur second rôle (le César italien) pour Pourvu que ce soit une fille. Le cinéma français lui attribue le César d'honneur en 1989. Lorsqu'il paraît sur la scène de l'Empire, Bernard Blier malade n'est plus que l'ombre de lui-même, il arrive à petits pas, prend sa statuette des mains de Michel Serrault qui contient difficilement son émotion, échange avec lui quelques mots et puis s'en va. ■

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  • Jacqueline Maillan
    Née en 1923 à Paray-le-Monial - Décédée le 12 mai 1992 à Paris.
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    Mauvaise élève mais adorée de ses professeurs et camarades de classe, Jacqueline Maillan prépare une capacité en droit, avant de suivre des cours de puériculture. Elle trouve finalement un emploi de secrétaire auprès d'un pharmacien. En 1944 la famille arrive à Paris et Jacqueline s'inscrit d'abord aux cours d'art dramatique Tonia Navar puis au cours Simon où elle rencontre celui qui restera un ami jusqu'à la fin, Pierre Mondy. C'est sur la recommandation de ce dernier que Georges Vitaly l'engage et qu'elle part pour sa première tournée en France avec Le Médecin malgré lui et Les Boulingrin.

    En 1951 elle crée au théâtre de la Huchette Monsieur Bob'le de Georges Schehadé avec Monique Laurie et Pierre Mondy, puis un second rôle au théâtre de boulevard en 1955, dans Ornifle, de Jean Anouilh, avec Pierre Brasseur et Louis de Funès débutant. Elle joue aussi avec les Branquignols dans Ah ! les belles bacchantes, qui est adapté au cinéma. C'est vers la fin des années 1950 que la notoriété de la comédienne est lancée.

    Elle joue au théâtre dans Le Chinois de Barillet et Grédy, dans Gog et Magog, Croque-monsieur, la Facture, de Françoise Dorin, en 1968, Folle Amanda, Potiche, Lily et Lily, La Cuisse du Steward, Retour au désert, Le Pont Japonais. Elle participe fréquemment à des émissions de divertissement à la télévision, conçues par ses amis Maritie et Gilbert Carpentier, notamment Les Grands Enfants de 1967 à 1970.

    Deux mois après Jean Poiret, elle décède d'une crise cardiaque dans son appartement parisien. ■

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    Décès

  • François Joseph Paul de Grasse
    Né le 13 septembre 1722 Le Bar-sur-Loup (Alpes-Maritimes) - Décédé en 1788 au château de Tilly (Yvelines).
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    Officier de marine qui sert l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et la Marine royale française. Il assume divers commandement lors de la guerre de Succession d'Autriche et de Sept Ans avant de terminer sa carrière comme lieutenant-général lors de la guerre d'indépendance américaine.

    Nommé en 1781 commandant de la principale escadre française, son action résolue dans la baie de la Chesapeake permet la victoire décisive de Yorktown. Lourdement battu et capturé en 1782 à la bataille des Saintes, il connait la disgrâce royale jusqu'à sa mort, même si ce combat est sans conséquence sur la suite de la guerre. Les historiens l'ont réhabilité et les marines américaines et françaises donnent régulièrement son nom à de grosses unités de guerre. ■

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  • Georges Eugène Haussmann
    Né le 27 mars 1809 à Paris - Décédé en 1891 dans la même ville
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    Il est le fils de Nicolas-Valentin Haussmann (1787-1876), protestant, commissaire des guerres et intendant militaire de Napoléon 1er. Il fait ses études au collège Henri-IV et au lycée Condorcet à Paris, puis il entame des études de Droit tout en étant élève au conservatoire de musique de Paris.

    Le 21 mai 1831 il est nommé Secrétaire Général de la préfecture de la Vienne à Poitiers puis le 15 juin 1832 sous-préfet d'Yssingeaux. Il fut successivement sous-préfet du Lot-et-Garonne à Nérac (le 9 octobre 1832), de l'Ariège à Saint-Girons (le 19 février 1840), de la Gironde à Blaye (le 23 novembre 1841), puis préfet du Var à Draguignan (le 24 janvier 1849), et enfin de l'Yonne (15 mai 1850).

    Présenté à Napoléon III par le ministre de l'Intérieur, il devient préfet de la Seine le 22 juin 1853. Le 29 juin 1853, l'Empereur lui confie la mission d'assainir et embellir Paris.

    Au milieu du XIXe siècle, Paris se présente à peu près sous le même aspect qu'au Moyen âge : les rues y sont encore sombres, étroites et insalubres. Lors de son séjour en Angleterre (1846-1848), Louis-Napoléon Bonaparte fut fortement impressionné par les quartiers Ouest de Londres. L'Empereur voulait faire de Paris une ville aussi prestigieuse que Londres : ce sera le point de départ de l'action du nouveau préfet. ■

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  • Jean-Marie Gabriel de Lattre de Tassigny cl
    Né le 2 février 1889 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) - Décédé en 1952 à Neuilly-sur-Seine.
  • Il est Issu d'une vieille famille aristocratique des Flandres françaises. Fort d'une éducation soignée, il suit ses études à Poitiers et Paris. Il est reçu quatrième à Saint-Cyr où il entre en 1909 (promotion « Mauritanie »).

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    Le 11 août 1914, il est blessé au genou et, un mois plus tard, reçoit un coup de lance à la poitrine au cours d'une mission de reconnaissance. Il sert ensuite dans l'infanterie, en 1915, au 93e RI, prend part aux combats de Verdun, du Chemin des Dames. Officier de la Légion d'Honneur à la fin de la guerre.

    Après la guerre, le capitaine de Lattre est affecté à la section franco-américaine de Bordeaux puis au 49e RI à Bayonne avant de se porter volontaire, en 1921, pour le Maroc (1921-1926). De 1929 à 1931 il sert au 5e RI à Coulommiers, il est ensuite affecté au 4e Bureau de l'Etat-major de l'Armée puis, promu lieutenant-colonel, à l'État-major du général Weygand de 1932 à 1935. Il commande ensuite le 151e RI à Metz, avec le grade de colonel, jusqu'en 1937. Promu général de brigade en 1939, à Strasbourg, il est le plus jeune général de France.

    Chef d'Etat-major de la 5e Armée, il prend, en janvier 1940, le commandement de la 14e DI à Rethel pendant l'offensive allemande de mai 1940, les unités de de Lattre repoussent l'ennemi à trois reprises. Pendant la débâcle, il continue à se battre à Mourmelon, à Nevers et devant Clermont-Ferrand où il se replie. Après l'armistice, nommé adjoint pour le commandement des troupes de la 13e Division militaire de Clermont-Ferrand, il se consacre à la formation des cadres. En septembre 1941 il est nommé commandant supérieur des troupes de Tunis. Rappelé en France en janvier 1942, il est nommé commandant de la 16e division militaire à Montpellier et promu général de corps d'armée.

    En novembre 1942, à l'arrivée des forces allemandes en zone sud, il donne l'ordre à ses troupes de sortir des garnisons et de résister. Trahi, il est interné à Toulouse, puis à Lyon. Condamné à dix ans de prison en janvier 1943, il est transféré à Riom, d'où il s'évade pour rejoindre Londres. Sous le faux nom de Dequesne, le général de Lattre, s'évade de France, grâce à un appareil de la R.A.F. venu le chercher à Manziat dans l'Ain. Le 11 novembre 1943, il est promu général d'armée par le général de Gaulle qu'il rejoint à Alger cinq semaines plus tard.

    Après la campagne d'Italie il se voit confier la formation et le commandement de la future Première Armée Française. Ayant libéré l'île d'Elbe en juin 1944, il débarque en Provence, le 15 août aux côtés des alliés. Le général de Gaulle lui remet la Croix de la Libération. Il met alors au point l'offensive qui mènera la 1ère Armée jusqu'au Rhin. La contre attaque allemande de Von Rundstedt empêche la progression alliée, ensuite, les troupes alliées reprennent l'initiative et la 1ère Armée libère Colmar, passe le Rhin de vive force et pénètre en Autriche et pousse jusqu'à Arlberg. Le 9 mai 1945, le général de Lattre signe à Berlin, au nom de la France, aux côtés des alliés, l'acte de capitulation de l'Allemagne nazie.

    Nommé haut-commissaire en Indochine et commandant en chef en Extrême-Orient, il rétablit la situation au Tonkin par les victoires de Vinh-Yen et de Mao-Khé. Il rentre en France pour la Conférence des États Associés. ■

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