Ephéméride
Rose de Lima
23 août

Fille d'un colon espagnol du nom de Gaspare Flores et d'une métisse indienne, la jeune fille, baptisée sous le nom d'Isabel, est bientôt surnommée Rose en raison de sa grâce. Elle travaille et prie pour ses parents réduits à la pauvreté avant d'entrer dans le tiers ordre des dominicaines, dans sa ville de Lima, au Pérou, où elle s'inflige de rudes mortifications. Morte à 31 ans le 24 août 1617, Rose de Lima est la patronne de l'Amérique latine.

Source Hérodote

6e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la tubéreuse.

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1er jour du Vierge.

Journée internatinale

Journée Internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition

Prénoms du jour

Bonne fête aux Rose et ses variantes ou dérivés Marie-Rose, Rosa, Rosabelle, Rosalba, Rosanette, Rosanna, Rosanne, Rose-Anne, Rosella, Roselie, Roselis, Roselise, Roselita, Roselia, Roselle, Rose-Marie, Rosemay, Roseta, Rosetta, Rosette, Rosie, Rosine, Rosita, Rosy et Rosyne.
Eugène
Et aussi aux Owen et ses variantes Eoghan, Owain et Owenn.
Tedvil
Zachée

Ils se prénomment aussi Eugène

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Événements

  • 408 : Assassinat de Stilicon
  • Avant de mourir, en 395, l'empereur Théodose 1er a partagé l'empire romain entre ses deux fils.

    À Honorius, 11 ans, revient l'Occident (capitale : Rome) et à Arcadius, 18 ans, l'Orient (capitale : Constantinople). Théodose confie la tutelle des deux jeunes empereurs au général Stilicon, fils d'un officier vandale rallié à Rome.

    En qualité de préfet du prétoire, celui-ci maintient tant bien que mal l'ordre en Occident. Il repousse à deux reprises les Goths et transfère le gouvernement de Rome à Ravenne, une ville plus aisée à défendre. Il tente avec plus de difficulté d'imposer son autorité à Constantinople.

    L'armée s'inquiète cependant de ses recrutements massifs de contingents barbares et lui en veut de n'avoir pu empêcher les invasions barbares en 406. Il est assassiné sur ordre d'Honorius.

    Cela ne va pas arranger les affaires de l'empire d'Occident et deux ans plus tard, Rome se verra elle-même mise à sac par des Ostrogoths...

  • 1328 : Philippe VI de Valois écrase les milices de Bruges
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    Le nouveau roi de France Philippe VI écrase au Mont Cassel, près de Lille, les milices communales de Bruges qui s'étaient insurgées contre leur comte, Louis de Nevers, vassal du roi de France.

    Quand celui-ci a prié les barons français de l'accompagner à la bataille et que ceux-ci ont tenté de se défiler, le connétable Gautier de Châtillon leur a lancé : « Qui a bon cœeur trouve toujours bon temps pour la bataille ». Et le roi d'ajouter une formule appelée à une grande fortune : « Qui m'aime me suive ».

    Avec cette défaite qui suit de quelques années leur victoire à la « bataille des éperons d'or », les Flamands vont retomber sous l'influence française. Le roi d'Angleterre leur fera payer cette nouvelle allégeance en les privant de la laine anglaise qui est à la base de leur prospérité...

  • 1514 : Turcs contre Perses à Tchaldiran
  • L'armée du sultan ottoman Sélim 1er se heurte à celle du chah de Perse, Ismaïl 1er, fondateur de la dynastie des Séfévides. Le premier représente l'islam sunnite, le second se présente comme le champion de la minorité chiite. Il a imposé cette religion dissidente dans son empire.

    L'affrontement a lieu à Tchaldiran (aujourd'hui Cadiran, près du lac de Van, en Turquie). Il inaugure une guerre de religion entre sunnites turcs et chiites perses qui va s'étaler sur plus d'un siècle. Les deux armées comptent chacune environ 100 000 hommes mais les Turcs ottomans l'emportent grâce à leur artillerie, qui a raison de la cavalerie perse. Le sultan, toutefois, néglige de profiter de son avantage et ne poursuit pas son adversaire.

    Ismaïl 1er en profite pour raffermir son empire. Il fait alliance avec la dynastie mamelouk qui gouverne l'Égypte. Ses successeurs tenteront même de s'allier à l'empereur d'Allemagne, Charles Quint, dont les États autrichiens sont menacés par les Turcs...

  • 1914 : Le Japon dans la Grande Guerre
  • L'empire du Japon entre dans la guerre par pur opportunisme, en vue de s'emparer des possessions allemandes d'Extrême-Orient. Il occupe dès novembre la concession allemande de Qindao (Chine) puis, un peu plus tard, les îles Marianne. Tout cela sans perte humaine ou presque. Le Japon est le vainqueur le plus heureux de la Grande Guerre (et le seul empire à lui survivre)...

  • 1939 : Le pacte germano-soviétique
  • Le monde apprend avec stupéfaction la signature au Kremlin, à Moscou, d'un pacte germano-soviétique de « non-agression » entre Molotov et Joachim von Ribbentrop, représentants respectifs de Staline et Hitler...

    Naissances

  • Louis XVI
    Né en 1754 à Versailles - Décédé le 21 janvier 1793 à Paris
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    Louis XVI est le troisième fils du Dauphin Louis et de Marie-Josèphe de Saxe. C'est un homme de grande taille (1,90 mètre) et d'une belle prestance, cultivé et intelligent mais doux et maladivement timide, marié à l'archiduchesse Marie-Antoinette.

    La mort prématurée de ses deux aînés en a fait l'héritier de la couronne sans y avoir été préparé. Son accession au trône à la mort de son grand-père Louis XV, le 10 mai 1774, suscite une immense attente de l'opinion. Il croit satisfaire cette attente en restituant aux parlementaires le droit de remontrance dont ils venaient d'être privés. C'est la première d'une longue suite d'erreurs qui lui seront fatales.

    Le roi tente là-dessus des réformes audacieuses avec Turgot mais retire très vite sa confiance à ce dernier sous la pression de la Cour et des privilégiés. Presque aussitôt, il conclut une alliance avec les États-Unis d'Amérique. Elle aboutira à un succès diplomatique, le traité de Versailles, mais précipitera aussi la faillite de l'État français.

    Dans l'urgence d'une réforme fiscale, il n'a bientôt d'autre solution que de convoquer les états généraux le 5 mai 1789. Deux mois plus tard, la prise de la Bastille marque le début de la Révolution. Tiraillé entre les partisans du compromis, adeptes d'une monarchie constitutionnelle, et les jusquauboutistes qui veulent en découdre avec les révolutionnaires, le roi cède à ceux-ci et, révulsé par les dispositions anticléricales de l'Assemblée, tente de fuir la capitale.

    Rattrapé, il est finalement emprisonné au terme d'une « journée révolutionnaire » le 10 août 1792 et guillotiné le 21 janvier 1793. Quatre mois plus tôt, la France est entrée en République. ■

  • Georges Cuvier logo-af.gif
    Né en 1769 à Montbéliard - Décédé le 13 mai 1832 à Paris
  • Anatomiste, promoteur de l'anatomie comparée et de la paléontologie au XIXe siècle.

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    Natif d'une famille luthérienne de Montbéliard, territoire alors rattaché au duché de Wurtemberg où l'école est obligatoire, c'est la lecture de Buffon au cours de ses études brillantes qui orientera la vie de Georges Cuvier. Après avoir étudié au collège de Montbéliard, il s'inscrit en 1784 à l'Académie Caroline de Stuttgart en Allemagne. C'est là qu'il acquiert la connaissance de la langue et de la littérature allemandes, reçoit des cours de sciences qui le passionnent mais aussi d'économie, de droit administratif ou de gestion forestière qui l'aideront dans ses fonctions futures d'administrateur.

    En 1788, il reprend le poste de précepteur d'un coreligionnaire auprès de la famille du comte d'Héricy, famille noble protestante de Caen en Normandie tenant salon. Sa fonction lui laissant du temps libre, il découvre les sciences naturelles en disséquant le chat ou le perroquet de la Comtesse, les poissons et mollusques, en récoltant des fossiles et comparant des espèces vivantes. Il constitue à cette époque un important herbier. De ces travaux solitaires, il déduira par la suite la loi de corrélation des formes permettant la reconstitution d'un squelette à partir de quelques fragments. Très tôt, il a l'intuition de la nécessité d'une nouvelle classification du règne animal.

    Il est nommé successivement professeur d'histoire naturelle aux écoles centrales du Panthéon, suppléant de la chaire d'anatomie comparée au Muséum, professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences où il est secrétaire perpétuel pour les sciences physiques en 1803.

    Une succession d'honneurs le conduisent de l'Académie française en 1818 au fauteuil n° 18, à la pairie de France en 1831, en passant par le Conseil d'État et la chancellerie de l'Instruction publique, sans parler des distinctions académiques venant du monde entier. ■

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  • Éleuthérios Venizélos
    Né en 1864 à Murnies (Crète) - Décédé le 18 mars 1936 à Paris
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    Cet ardent militant du panhellénisme (le rassemblement de tous les Grecs dans une même Nation) a entraîné la jeune Grèce dans pas moins de quatre conflits contre les Turcs (1897, 1912, 1913 et 1920). Le dernier, à son corps défendant, s'est soldé par un désastre sans précédent. ■

  • Jacques Rueff logo_af.gif
    Né en 1896 à Paris - Décédé le 23 avril 1978 à Paris
  • Haut fonctionnaire et économiste

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    Fils de médecin, Jacques Léon Rueff fait ses études secondaires au lycée Charlemagne puis au lycée Saint-Louis, poursuit à l'École libre des sciences politiques puis à l'École polytechnique. Durant les années 1920, il est inspecteur des finances en 1923, chargé de mission auprès de Raymond Poincaré, président du Conseil et ministre des Finances en 1926, puis attaché financier à l'ambassade française de Londres.

    Dans les années trente, il fait partie des économistes qui s'inquiètent des problèmes récurrents de la France dans le domaine de l'économie. Parallèlement sa carrière administrative est alors à son apogée, il sera directeur du mouvement général des fonds durant le Front populaire, puis sous-gouverneur de la Banque de France en 1939.

    Après la Seconde Guerre mondiale durant laquelle il écrit l'Ordre social, il préside à partir de 1945 la conférence des réparations à Paris. Dans les années 1950, il occupe des postes à la Cour de justice de la Communauté européenne du charbon et de l'acier et à la Cour de justice des Communautés européennes.

    Après le retour du général de Gaulle au pouvoir en 1958, il préside un Comité d'experts chargé d'étudier la façon d'assainir les finances publiques. Il s'agit d'assurer à la Cinquième République de bonnes bases économiques et financières. Cela conduit au « plan Rueff » mis en œuvre par le ministre des Finances Antoine Pinay. Le franc va redevenir convertible, le contrôle des changes s'assouplir.

    Préfigurant le Marché commun, alors en formation, Rueff recommande l'ouverture à la concurrence dans un second rapport qu'il rédige en collaboration avec Louis Armand. À sa publication en 1960, les journalistes dénomment « plan Rueff-Armand » ce document intitulé Rapport du Comité pour la suppression des obstacles à l'expansion économique

    .

    Jacques Rueff s'est toujours opposé aux idées de Keynes, d'abord, dans The Economic Journal, sur le problème des transferts - en relation avec les réparations allemandes - à la fin de la décennie 1930, et ensuite, en 1947, telles qu'elles étaient développées dans la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie.

    Jacques Rueff est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 1944 et de l'Académie française en 1964 au fauteuil n° 31. ■

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  • Michel Rocard
    Né en 1930 à Courbevoie - Décédé le 2 huillet 2016 à Paris
  • Haut fonctionnaire et homme d'état

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    Militant socialiste à partir de 1949, il est le candidat du Parti socialiste unifié (PSU) à l'élection présidentielle de 1969 où il recueille 3,6 % des voix, puis est élu député des Yvelines. Il rejoint le Parti socialiste (PS) en 1974 et fait figure de rival de François Mitterrand en se voulant le dirigeant d'une « deuxième gauche », réformiste et anticommuniste.

    Il exerce la fonction de Premier ministre de 1988 à 1991, à la tête d'un gouvernement d'ouverture sous la présidence de François Mitterrand. Par la suite, il est premier secrétaire du Parti socialiste (1993-1994), député européen (1994-2009) et sénateur des Yvelines (1995-1997). Il est ambassadeur chargé de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique de 2009 à sa mort. ■

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    Décès

  • George Villiers Buckingham
    Né le 20 août 1592 à Brooksby (Leicestershire) (Angleterre) - Décédé en 1628 à Portsmouth (Angleterre)
  • Georges Villiers, réputé le « plus bel homme du monde », remplace Robert Carr comme favori du roi d'Angleterre Jacques 1er.

    Celui-ci, en deux ans, l'élève à la dignité de 1er duc de Buckingham et lord amiral. Le favori introduit à la Cour des mœurs dissolues et une mode exubérante, avec cheveux longs et dentelles, qui scandalisent la bourgeoisie puritaine.

    Plus grave, le duc s'enrichit de manière scandaleuse. Envoyé en Espagne pour négocier le mariage du prince de Galles avec l'infante Marie-Anne, fille du roi Philippe III, il fait échouer la négociation par son arrogance et provoque une guerre avec l'Espagne.

    Deux ans plus tard, le prince étant devenu roi sous le nom de Charles 1er, il épouse Henriette de France, fille du roi Henri IV. Cela n'empêche pas le duc de l'entraîner peu après dans une guerre contre la France.

    Le prétentieux Buckingham laisse complaisamment courir le bruit de ses bonnes fortunes avec l'infante Marie-Anne, devenue impératrice d'Allemagne par son mariage avec Ferdinand III, comme avec la reine Henriette de France et la reine Anne d'Autriche, épouse du roi Louis XIII, qu'il a rencontrée à Londres, en 1625, à l'occasion du mariage de la précédente.

    Dans ses Mémoires publiées en 1717, François-Paul de Gondi, cardinal de Retz, écrit à son propos : « Buckingham disait qu'il avait aimé trois reines, et qu'il avait été obligé de les gourmer toutes trois ». Le romancier Alexandre Dumas s'est aussi fait l'écho des turpitudes de Buckingham dans Les Trois Mousquetaires.

    Le beau Villiers, que les Français appellent « Bouquincan », est poignardé par un officier puritain, Charles Felton, alors qu'il prépare à Portsmouth une nouvelle expédition sur La Rochelle. Ses restes sont inhumés à l'abbaye de Westminster, sous une pierre portant l'épitaphe équivoque « Enigma mund i». ■

  • Charles-Augustin Coulomb
    Né le 14 juin 1736 à Angoulême (Charente) - Décédé en 1806 à Paris
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    Il étudie à Paris au Collège des Quatre-Nations. Il participe de 1757 à 1759 aux travaux de l'académie de Montpellier ; il rentre à Paris en 1759 pour assister aux cours de l'institut préparatoire et réussit le concours d'entrée à l'École du génie de Mézières.

    À sa sortie de l'école en 1761, il est d'abord commis au levé des cartes côtières de Bretagne, puis envoyé en mission à la Martinique en 1764 pour participer à la construction du Fort Bourbon où il travaille huit années à diriger les travaux ; il réalise aussi plusieurs expériences sur la résistance des maçonneries et la tenue des murs d'escarpe (soutènements).Rapatrié en 1772 avec le grade de capitaine, il adresse à l'Académie des sciences un mémoire rapportant l'ensemble de ses recherches, Essai sur une application des règles de maximis et de minimis à quelques problèmes de Statique relatifs à l'Architecture (1773). Coulomb y emploie le calcul différentiel pour étudier la flexion des poutres, la poussée des remblais sur les murs de soutènement, l'équilibre des voûtes en maçonnerie.

    Il est affecté successivement à Cherbourg (1774-1776), à Besançon (1777-79) et à Rochefort (1779-1780), où il est chargé de la réparation du fort de l'île d'Aix. En collaboration avec l'arsenal de Rochefort, il fait réaliser diverses expériences sur les cordages et obtient en 1781 le prix de l'Académie des sciences sur la détermination des lois du frottement et de la roideur des cordes, distinction qui est suivie de son élection à l'Académie.

    Choisi en tant qu'expert pour l'extension du port de Saint-Malo, il est nommé Intendant des eaux et fontaines de France, puis promu en 1786 lieutenant-colonel. La Révolution ne met sa position en péril qu'à partir de 1791. Sous la Terreur, il se réfugie prudemment avec son collègue Jean-Charles de Borda dans la région de Blois. Il rentre dans la capitale sous le Directoire, et les 4 dernières années de sa vie, il occupe à la demande de Bonaparte le poste d'inspecteur général de l'instruction publique, sous le ministère Fourcroy.

    Ingénieur de formation, il est surtout physicien. Il publie 7 traités sur l'électricité et le magnétisme, et d'autres sur le phénomène de torsion, les frottements solides. ■

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  • Albert Roussel
    Né le 5 avril 1869 à Tourcoing - Décédé en 1937 à Royan
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    Membre d'une famille de la bourgeoisie industrielle tourquennoise, Albert Roussel fait ses études secondaires à l'Institution libre du Sacré-Cœur de Tourcoing. Orphelin à l'âge de sept ans, il est recueilli par son grand-père, maire de Tourcoing.

    Après avoir servi quelques années dans la marine (il avait été admis à l'École navale en 1887), il décide en 1894 de se consacrer entièrement à la musique. Il s'inscrit en 1898 à la Schola Cantorum. Lui-même y enseigne le contrepoint entre 1902 et 1914. Après la guerre il continue d'enseigner en privé. Son influence sur les jeunes musiciens de l'entre-deux guerres qui le considéraient comme un chef de file est capitale.

    Bien qu'influencé au début de sa carrière par Debussy et Vincent d'Indy son professeur d'orchestration, Roussel fit preuve assez vite d'une grande originalité. Sa musique se distingue par le raffinement de l'harmonie, les audaces rythmiques et la richesse du coloris toujours au service d'une musique pure libérée de tout pittoresque ou de références folkloriques. Il a laissé entre autres des mélodies, de la musique de chambre, diverses pièces pour piano, deux concertos (pour piano et pour violoncelle), quatre symphonies (la troisième, en sol mineur, est considérée comme l'un des chefs-d'œuvre du genre), les ballets Le Festin de l'araignée, Bacchus et Ariane et Aeneas. L'opéra-ballet Padmâvatî et le triptyque symphonique avec solistes et chœur Évocations furent inspirés par son voyage de noces aux Indes. ■

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