Jeune grec né à Gaza, en Palestine, vers l'an 100, Justin se passionne pour la philosophie. Il fait le tour des écoles de philosophie du monde hellénistique à la recherche de la Vérité. Il découvre finalement celle-ci en entendant un vieillard sur une plage lui parler du Christ.
Après son baptême, Justin se demande si la Vérité a commencé avec le Christ. Il préfère croire qu'elle était déjà en germe dans la philosophie antérieure et va, toute sa vie, s'efforcer de concilier celle-ci avec l'enseignement du christianisme, allant jusqu'à voir en Platon et Socrate des chrétiens qui s'ignoraient.
Il est décapité avec six compagnons sous le règne de l'empereur Marc-Aurèle que l'on dit précisément philosophe. L'Église fera de Justin le patron des philosophes.
Source Hérodote
13e jour du mois de Prairial dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du pois.
11e jour des Gémeaux.
JJournée mondiale des parents
Justin
C'est la disparition des cartes formulaires, créé par la loi du 20 décembre 1872 qui, à l'origine, ne devaient être vendue au public qu'affranchies.
(20g) Lettre 1er ech. pour l'intérieur : 1.80F
Il n'y a pas de timbre émis à cette date pour le tarif
(20g) Lettre 1er ech. pour l'intérieur : 2.00F
Lettre prioritaire inf. à 20g : Marianne du 14 juilllet RF - 0.50 € (TVP)
Lettre prioritaire inf. à 20g : Marianne de Lamouche - 0.54 € (TVP)
L'empereur Gaozu, de son vrai nom Liu Bang (ou Lieou Pang) meurt dans son palais de Tch'ang-ngan (aujourd'hui Xi'an), à 52 ans. Il est le fondateur de la prestigieuse dynastie chinoise des Han...
Au plus fort de la Révolution, une escadre française livre un combat désespéré à la flotte anglaise, au large de Brest...
Le Prince impérial, fils unique de l'empereur déchu Napoléon III, meurt en Afrique australe, en combattant les Zoulous...
Les Français communient autour de la dépouille de Victor Hugo, mort dix jours plus tôt. Un million de personnes suivent le corbillard des pauvres dans lequel il a demandé à être conduit. Le Panthéon est rouvert à cette occasion et devient le mausolée des gloires nationales. C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité qu'un poète reçoit de pareils hommages...
Sous une chaleur torride, un corps expéditionnaire britannique entre à Bagdad et en chasse le gouvernement de Rachid Ali, un putschiste en cheville avec les Allemands...
Théoricien prussien de la guerre, il est connu par ses écrits posthumes, Vom Kriege (De la guerre), et une formule tranchante et quelque peu réductrice : « La guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens ».
Après une scolarité médiocre, il est cadet à 12 ans et presque aussitôt précipité dans les batailles de la première coalition contre la France. Lieutenant à 15 ans, en 1795, il se lance sur le tard dans les études et entre en 1801 à l'Académie militaire, où officient d'illustres théoriciens de la guerre : Gerhard von Scharnhorst et August von Geneisenau. Lui-même repart en campagne. Il est capturé en 1806 à Auerstaedt... ■
Louis-Nicolas Davout, duc d'Auerstaedt et prince d'Eckmühl, apparaît, au vu de ses succès, comme un des plus grands maréchaux de l'Empire, mais également un des plus brillants chefs de guerre de l'histoire militaire française. Animé par le sens de la fidélité et de l'honneur, ce grand tacticien, soucieux d'imposer une discipline de fer à ses hommes, a su s'imposer aux yeux de Napoléon comme un de ses officiers favoris... ■
Nicolas Appert se familiarise dès sa jeunesse avec les métiers de cuisinier et de confiseur, et avec les modes de conservation des denrées alimentaires.
En 1772, il entre au service de bouche du duc palatin, puis, à la mort de ce dernier en 1775, il reste comme officier de bouche au service de sa veuve jusqu'en 1784.
Après s'être engagé dans l'action révolutionnaire dès 1789, et jusqu'en 1794, il devient président de la Section des Lombards et passe alors trois mois en prison. Il oriente ses travaux sur les solutions à apporter aux faiblesses des moyens de conservation de l'époque. Il met au point le procédé qui rend possible la mise en conserve (appelée appertisation) des aliments en 1795. Installé à Ivry-sur-Seine, Nicolas Appert améliore sa découverte. La Verrerie de la Gare, créée en 1792 par Jean André Saget, lui fournira des bouteilles à large col pour ses essais de conserves pour la marine. Après maintes pressions auprès des amiraux, il parvient enfin à fournir la marine française. En 1802, il crée à Massy la première fabrique de conserves au monde.
En 1806, la marine teste ses conserves : ce ne sont que des éloges. Le 15 mai 1809, il adresse au ministre de l'Intérieur Montalivet un courrier l'informant de sa découverte. Dans sa réponse du 11 août le ministre lui laisse le choix : soit prendre un brevet, soit offrir sa découverte à tous et recevoir un prix du Gouvernement, à charge pour Appert de publier à ses frais le fruit de ses découvertes. Nicolas Appert opte pour la seconde solution, préférant faire profiter l'humanité de sa découverte plutôt que de s'enrichir.
Le 30 janvier 1810, le ministre lui accorde un prix de 12 000F. Il publie à 6 000 exemplaires L'Art de conserver pendant plusieurs années toutes les substances animales et végétales. Dès ce moment, sa méthode de conservation se voit copiée par les Britanniques. Ces derniers ne lui versent aucune compensation financière, et se contentent de l'honorer du titre symbolique de « bienfaiteur de l'humanité ». Utilisant la technique Appert, reprise dans un brevet déposé par Peter Durand, les Britanniques Bryan Donkin et John Hall remplacent les bouteilles de verre par des boîtes en fer-blanc. Celles-ci, beaucoup plus résistantes, permettent surtout de contenir de plus gros volumes, mais ont l'inconvénient de ne pouvoir s'ouvrir que très difficilement.
Le déclin de la marine impériale de Napoléon et la concurrence des Britanniques, favorisés par un accès à un fer-blanc de meilleure qualité et moins coûteux, finit par ruiner Appert. ■
Voir la vidéo WikipediaGueorgui Joukov est l'officier général le plus décoré de l'histoire de l'Union soviétique. Considéré comme « l'ombre de Staline » il est pour l'historien Jean Lopez, qui lui a consacré une biographie en 2013, « l'homme qui a vaincu Hitler ».
Brutal et autoritaire, il a redoré l'image de l'Armée rouge dont les élites ont été décapitées par les purges staliniennes de 1937. Lorsque la Wehrmacht est arrivée aux portes de Moscou, il a été le seul capable de faire face aux armées du Führer... ■