Ephéméride
Bienvenue
30 octobre

Disciple de Saint Dominique, Benvenuta Bojani vécut au Frioul au XIIIe siècle. Elle manifesta sa piété par des pratiques pénitentielles extrêmes et mourut à Cividale del Friuli en 1295... Rien à voir avec une station de métro parisienne.

Source Wikipédia

9e jour du mois de Brumaire dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l'alisier.

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8e jour du Scorpion.

Journée mondiale

Journée mondiale de la Vie

Prénoms du jour

Bonne fête aux Bienvenue
et aussi aux Maeva.

Événements

  • 749 : Saffah devient calife à la place du calife
  • Dans la mosquée de Koufa, en Irak, un chef musulman de 30 ans, Abdullah Abou-el-Abbas, est proclamé calife par ses lieutenants.

    Il s'empare alors de Damas, renverse le calife ommeyyade Marwan II et devient le nouveau maître de l'empire arabe sous le surnom mérité de Saffah (le Sanguinaire). Il fonde une nouvelle dynastie appelée abasside, d'après le nom d'un ancêtre, Abbas, oncle de Mahomet...

  • 1242 : Paix de Lorris
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    13 ans après le traité de Meaux, le comte de Toulouse Raimon VII signe une paix définitive avec le roi de France, Louis IX (Saint Louis) à Lorris, près d'Orléans, dans le Gâtinais.

    Sa fille unique et héritière, Jeanne, épouse Alphonse de Poitiers, frère du roi. Le couple n'aura pas d'enfant et à leur mort, le comté de Toulouse sera mis à la disposition de la couronne...

  • 1439 : Le duc Amédée VIII devient pape
  • Une poignée de pères conciliaires réunis à Constance proclament la déchéance du pape Eugène IV. Ils élisent à sa place le duc Amédée VIII de Savoie, 56 ans.

    Le nouveau pape est intronisé l'année suivante sous le nom de Félix V. Mais son élection par une fraction seulement des cardinaux et son effacement ultérieur devant un rival font que l'église catholique le considère comme le dernier des « antipapes » (ou papes concurrents du pape officiel)...

  • 1632 : Montmorency décapité à Toulouse
  • Le duc Henri II de Montmorency (37 ans), filleul du précédent roi Henri IV, est décapité dans la cour d'honneur du Capitole, le palais où siège le conseil municipal de Toulouse, les capitouls. On doit fermer les portes du Capitole pour empêcher les Toulousains, favorables au duc, d'entraver l'exécution !

    Henri II a été nommé gouverneur du Languedoc vingt ans plus tôt, comme les précédents ducs de sa famille, à commencer par son aïeul, le connétable Anne de Montmorency...

  • 1691 : Soumission de l'Irlande
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    Le traité de Limerick met fin à la conquête de l'Irlande par les troupes anglaises.

    L'honneur est sauf pour les catholiques irlandais. Mais les conventions de paix ne tarderont pas à être violées par les troupes anglaises d'occupation, semant une discorde durable entre les deux communautés...

  • 1697 : Traités de Ryswick et fin de la guerre de la Ligue d'Augsbourg
  • Le deuxième traité de Ryswick est signé, un premier l'ayant été le 20 septembre précédent. Ces deux traités, signés dans une ville hollandaise proche de La Haye, mettent fin à la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697). Ils donnent un coup d'arrêt à l'expansion de la France sous le règne du Roi-Soleil...

  • 1864 : Fin de la « guerre des duchés »
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    La paix de Vienne met un terme à cette guerre qui avait vu l'Autriche, la Prusse et d'autres états allemands attaquer le petit Danemark pour lui enlever les duchés du Slesvig, du Holstein et du Lauenbourg. C'était la première des trois guerres qui allaient conduire le chancelier prussien Otto von Bismarck à l'unification de l'Allemagne...

  • 1905 : Manifeste du tsar Nicolas II
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    Suite à la Révolution de janvier et à sa défaite face aux Japonais, le tsar Nicolas II doit publier un Manifeste par lequel il instaure un régime constitutionnel en Russie. Mais cette expérience ne durera pas plus de quelques mois et son échec conduira le tsarisme à sa mort...

  • 1922 : « Marche sur Rome »
  • Les militants fascistes du parti de Benito Mussolini célèbrent par une « Marche sur Rome » la nomination, la veille, de leur chef à la tête du gouvernement. C'est la première victoire d'un parti non-démocratique en Europe occidentale...

    Naissances

  • Jacques Amyot
    Né en 1513 à Melun - Décédé le 6 février 1593 à Auxerre
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    Né de parents pauvres, il parvient à se rendre à Paris suivre les cours du collège de Navarre où il se met au service de riches étudiants afin de subvenir à ses besoins. à 19 ans, il obtient sa licence à Paris, puis devient docteur en droit civil de l'université de Bourges. Recommandé à Marguerite de Valois, il est nommé professeur de latin et de grec à l'université de Bourges. Durant les 10 ans de sa chaire universitaire il traduit le roman grec Théagène et Chariclée d'Héliodore, parue en 1547, lui vaut d'être récompensé par François Ier, qui lui octroie le bénéfice de l'abbaye de Bellozane.

    Il est alors en mesure de se rendre en Italie pour étudier le texte de Plutarque conservé au Vatican. Il s'attelle à la traduction des Vies parallèles des hommes illustres (1559-1565). Sur le chemin du retour, il se voit chargé d'une mission pour le concile de Trente. Rentré en France, il est nommé précepteur des fils de Henri II. Le premier, Charles IX, le nomme grand aumônier en 1561 ; le second, Henri III, le fait commandeur de l'ordre du Saint-Esprit.

    Pie V le nomme évêque d'Auxerre. Il vit là dans la tranquillité, occupé à la réfection de la cathédrale et à ses traductions. Ecclésiastique pieux et consciencieux, il s'en tient courageusement à ses principes. Il fonde un collège qui deviendra l'actuel Lycée Jacques Amyot d'Auxerre. Il aurait légué à sa mort 1 200 couronnes à l'hôpital d'Orléans, en raison des « 12 deniers » qu'il y avait reçus quand, « pauvre et nu », il se rendait à Paris. ■

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  • Fédor Dostoïevski
    Né en 1821 à Moscou (Russie) - Décédé le 27 janvier 1881 à Saint-Pétersbourg (Russie)
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    Fédor Dostoïevski, l'auteur de Crime et châtiment, est l'un des romanciers russes les plus populaires. Ses funérailles rassemblèrent des centaines de milliers d'admirateurs. ■

  • André Marie de Chénier
    Né en 1762 à Constantinople - Guillotiné le 25 juillet 1794 à Paris
  • Poète

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    André fut élevé par des parents à Carcassonne, puis fit de solides études à Paris, comme pensionnaire au Collège de Navarre, où il se passionna pour l'Antiquité et la poésie classique. Pour l'arracher à un amour malheureux, on lui ménagea un stage d'élève officier à Strasbourg ; mais il se vit fermer la carrière militaire comme roturier. Reportant toute son ambition vers la poésie, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir « l'Homère des modernes ».

    Cependant, après un voyage en Suisse en 1784, il composa surtout des élégies et des Bucoliques, où l'imitation des modèles antiques servait l'expression esthétique.

    à partir de février 1787, au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il s'occupa plus activement de poèmes philosophiques et satiriques qui portent la marque du climat idéologique et politique de l'époque pré-révolutionnaire ; mais sa situation précaire l'obligea à contenir sa combativité.

    Il contribua au Journal de la Société de 1789 qui compta une quinzaine de numéros. à partir de 1791, il collabora au Journal de Paris, organe du parti constitutionnel, où il condamna les « excès » de la Révolution dans des articles critiques contre les Jacobins. Inquiété pour ses prises de position publiques, il réussit à sortir de Paris. Au moment des massacres de Septembre, il se rendit à Rouen, puis au Havre, d'où il aurait pu embarquer. Il refusa néanmoins d'émigrer et revint à Paris, pour participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud.

    André Chénier fut arrêté à Passy le 7 mars 1794. Impliqué dans une des fausses conspirations qui permettaient d'exécuter les suspects sans les entendre, il fut condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, pour avoir « recélé les papiers de l'ambassadeur d'Espagne ». ■

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  • Ambroise Paul Toussaint Jules Valéry logo-af.gif
    Né en 1871 à Sète (Hérault) - Décédé le 20 juillet 1945 à Paris.
  • Écrivain, poète et philosophe

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    Paul Valéry entame ses études à Sète chez les dominicains, puis au collège de Sète et enfin au lycée de Montpellier. Il commence en 1889 des études de droit. Cette même année, il publie ses premiers vers dans la Revue maritime de Marseille. Sa poésie de cette époque s'inscrit dans la mouvance symboliste. En 1890, il est présenté à André Gide et sera introduit dans le cercle étroit de Stéphane Mallarmé. Paul Valéry lui restera fidèle jusqu'à sa mort solitaire.

    Dans la nuit du 4 au 5 octobre 1892, il connaît à Gênes ce qu'il décrit comme une grave crise existentielle. Il sort résolu à « répudier les idoles » de la littérature, de l'amour, de l'imprécision, pour consacrer l'essentiel de son existence à ce qu'il nomme « la vie de l'esprit ».

    En 1894, il s'installe à Paris, où il commence à travailler comme rédacteur au ministère de la Guerre, et où il se lie avec Paul Léautaud. Paul Valéry se rend régulièrement Rue de Rome aux « mardis » de Stéphane Mallarmé, rencontres littéraires qui ont lieu au domicile du poète dont il sera l'un des fidèles disciples.

    Après la Première Guerre mondiale, Paul Valéry devient une sorte de « poète officiel », immensément célèbre et comblé d'honneurs. En 1924, il devient président du Pen Club français, puis est élu membre de l'Académie française au fauteuil n° 38 l'année suivante. En 1931, il est promu au grade de commandeur de la Légion d'honneur ; en 1932, il entre au conseil des musées nationaux ; en 1933, il est nommé administrateur du Centre universitaire méditerranéen de Nice ; en 1936, il est nommé président de la Commission de synthèse de la coopération culturelle pour l'exposition universelle ; en 1937, on crée pour lui la chaire de poétique au Collège de France ; en 1938, il est élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur ; en 1939, enfin, il devient président d'honneur de la SACEM.

    Sonœuvre véritable, pendant ce temps, continue toujours dans l'ombre. La profondeur des réflexions qu'il a émises dans des ouvrages exigeants (Introduction à la méthode de Léonard de Vinci, La Soirée avec monsieur Teste), ses réflexions sur le devenir de la civilisation (Regards sur le monde actuel) et sa vive curiosité intellectuelle en ont fait un interlocuteur de Raymond Poincaré, Louis de Broglie, Henri Bergson et Albert Einstein.

    Sous l'Occupation, Paul Valéry, refusant de collaborer, prononce en sa qualité de secrétaire de l'Académie française l'éloge funèbre du « juif Henri Bergson ». Cette prise de position lui vaut de perdre ce poste. ■

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  • Jean Rostand logo-af.gif
    Né en 1894 à Paris - Décédé le 4 septembre 1977 à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine)
  • écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien.

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    Fils du dramaturge Edmond Rostand, Jean Rostand passe son enfance à la villa Arnaga, à Cambo-les-Bains (Pays basque).

    Il découvre à l'âge de dix ans les Souvenirs entomologiques de Jean-Henri Fabre. Licencié ès-sciences de la Faculté de Paris, Jean Rostand s'installe à Ville-d'Avray en 1922, après la mort de son père (1918).

    Il participe à la création de la section de biologie au Palais de la découverte, en 1936, puis fonde à Ville-d'Avray son propre laboratoire indépendant : la fortune familiale lui permet de se tenir à l'écart des structures universitaires, qu'il juge trop contraignantes. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds), la parthénogenèse, l'action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l'hérédité.

    Jean Rostand commence par publier quelques essais philosophiques, puis partage son temps entre son métier de chercheur et une très abondante production scientifique et littéraire. Avec conviction et enthousiasme, il s'efforce de vulgariser la biologie auprès d'un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d'alerter l'opinion sur la gravité des problèmes humains qu'elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d'une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les hommes lorsqu'ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l'eugénisme.

    Toutefois, Rostand soutient une forme d'« eugénisme positif », approuvant certains écrits d'Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché.

    En 1954, cependant, il écrit que « Tout ce que nous pouvons pour nos enfants, c'est de bien choisir leur mère ».

    Homme de science, biologiste, pamphlétaire, moraliste, Jean Rostand est aussi pacifiste.

    Il milite contre l'armement atomique. Agnostique, libre penseur, président d'honneur de la Libre-pensée, loin cependant d'être sectaire, il montre une grande ouverture d'esprit et beaucoup d'honnêteté intellectuelle. Lors du procès de Bobigny autour de l'avortement, en 1972, il témoigne en faveur de l'avortement.

    Une de ses citations restera à travers le temps : « La science a fait de nous des dieux, avant même que nous méritions d'être des hommes. »

    Jean Rostand est élu à l'Académie française au fauteui n° 38 en 1959 et continue ses campagnes d'information lors de conférences, à la radio ou à la télévision. ■

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    Décès

  • Henri Dunant
    Né le 8 mai 1828 à Genève (Suisse) - Décédé en 1910 à Heiden (Appenzell, Suisse)rave;
  • À l'occasion d'un voyage d'affaires, Henri Dunant visite en juin 1859 le champ de bataille de Solferino. Ce banquier genevois de 31 ans s'indigne alors du sort fait aux blessés et organise de premiers secours.

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    De retour à Genève, il lance un appel à l'opinion européenne dans un livre intitulé : Un souvenir de Solferino. Lui-même s'entretient avec l'empereur Napoléon III.

    Avec quatre amis genevois, il crée le 17 juillet 1863 une organisation internationale et neutre destinée à secourir les victimes de guerre, le Comité International de la Croix-Rouge (C.I.C.R.). Son nom lui vient de son symbole, le drapeau de la Suisse inversé, soit une croix rouge sur fond blanc. ■

  • Lucien Berthelot logo-af.gif
    Né le 6 novembre 1903 à Paris - Décédé en 1985
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    Il était un industriel et philatéliste français qui a notamment été président de la Fédération internationale de philatélie.

    Après la Seconde Guerre mondiale, il a été vice-président de la Fédération internationale de philatélie de 1947 à 1955, puis son président de 1955 à 1972. Pendant cette période, il a été juge lors d'expositions philatéliques.

    En France, il a dirigé la Fédération des sociétés philatéliques françaises et a été élu membre de l'Académie de philatélie en 1949.

    En 1972, il a signé le Roll of Distinguished Philatelists. En 1986, l'American Philatelic Society l'inscrit dans son Hall of Fame, distinction posthume décernée aux personnes qui ont contribué au développement de la philatélie. ■

  • Alfred Sauvy
    Né le 31 octobre 1898 à Villeneuve-de-la-Raho (Pyrénées-Orientales) - Décédé en 1990 à Paris
  • « Car enfin ce Tiers Monde ignoré, exploité, méprisé comme le Tiers-état, veut, lui aussi, être quelque chose  » écrit Alfred Sauvy en conclusion d'un article du magazine L'Observateur intitulé « Trois monde, une planète » (N° 118, 14 août 1952, page 14).

    Avec cet article apparaît pour la première fois une expression appelée à un succès planétaire : tiers monde (Third World selon la traduction qu'en ont fait les Anglo-Saxons). Cette expression désigne les pays pauvres écartelés entre les deux camps rivaux issus de la Seconde Guerre mondiale : le camp soviétique, sous la tutelle de Moscou, et le camp occidental, sous la tutelle de Washington. ■

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  • Marcel Carné
    Né le 18 août 1909 à Paris - Décédé en 1996 à Clamart
  • Marcel Carné demeure l'un des plus grands cinéastes français. Son œuvre reflète les années sombre de l'entre-deux-guerres et de l'Occupation : Quai des brumes (1938), Le jour se lève (1939), Les visiteurs du soir (1943). Son chef-d'œuvre ? Sans doute Les enfants du paradis (1945). ■

  • Federico Fellini
    Né le 20 janvier 1920 à Rimini (Italie) - Décédé en 1996 à Rome (Italie)
  • Cinéastre, réalisateur

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    Il est l'un des plus grands et célèbres réalisateurs italiens du XIXe siècle et l'un des cinéastes les plus illustres de l'histoire du cinéma, au même titre que Charlie Chaplin, Ingmar Bergman, Akira Kurosawa, John Ford, Jean Renoir, Alfred Hitchcock ou encore Orson Welles. Il a gagné la Palme d'or au Festival de Cannes 1960 pour La dolce vita et quatre fois l'Oscar du meilleur film en langue étrangère à Hollywood (pour La strada, Les Nuits de Cabiria, Huit et demi et Amarcord), un record qu'il partage avec son compatriote Vittorio De Sica.

    Marquée à ses débuts par le néoréalisme, l'œuvre de Fellini évolue, dans les années 1960, vers une forme singulière, liée à la modernité cinématographique européenne à laquelle Ingmar Bergman, Michelangelo Antonioni, Alain Resnais, Jean-Luc Godard ou encore Andreï Tarkovski sont rattachés. Ses films se caractérisent alors par le foisonnement des thèmes et du récit, l'artificialité revendiquée de la mise en scène et l'absence totale de frontière entre le rêve, l'imaginaire, l'hallucination et le monde de la réalité.

    Le 29 mars 1993, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière, « en appréciation de l'un des maîtres-conteurs de l'écran », lui est attribué par la prestigieuse Académie des arts et sciences du cinéma à Los Angelès. ■

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  • Claude Lévi-Strauss logo_af.gif
    Né le 28 novembre 1908 à Bruxelles (Belgique) - Décédé en 2009 à Paris
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    Écrivain et anthropologue, auteur de Tristes tropiques, compte parmi les plus grands intellectuels français du XXe siècle. Il est à l'origine du structuralisme, une école de pensée qui a révolutionné notre approche des sociétés humaines. Il a imprimé une marque profonde dans la pensée contemporaine, tant dans les champs de l'ethnologie que de la sociologie, la philosophie, l'histoire ou la littérature. ■