Prédicateur normand de l'ordre monastique des oratoriens, Jean-Eudes participe à l'effort de rechristianisation des campagnes françaises sous le règne de Louis XIII. Il fonde la congrégation dite des eudistes, vouée à la formation des prêtres.
Source Hérodote
2e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du millet.
28e jour du Lion.
Journée mondiale de l'aide humanitaire
Journée mondiale de la photographie
Bonne fête aux Eudes et ses variantes : Eudeline, Eudine et Jean-Eudes.
et aussi aux Donat
Guerric et ses dérivés : Guéric, Guérick, etc.
Gwennin, et ses dérivés bretons : Guénan, Guénin, Guin, Guïnis, Gwennina, etc.
Il n'y a pas de timbre émis à cette date pour le tarif
(20g) Lettre 1er ech. pour l'intérieur : Marianne de Briat : 2.50FÀ Malazgerd (ou Manzikert), l'empereur byzantin, le basileus Romain Diogène, est fait prisonnier par les Turcs Seldjoukides et leur chef Alp Arslan...
Le duc François II de Bretagne signe le traité du Verger avec le roi de France Charles VIII et sa sœeur Anne de Beaujeu. Par ce traité, il met fin à la « Guerre folle » et fait le sacrifice de son indépendance...
Devant les Académies des sciences et des beaux-arts, François Arago, savant et homme politique, informe que l'État français a acheté le daguerréotype, une invention de Louis Daguerre à l'origine de la photographie, afin d'« en doter libéralement le monde entier » !...
Environ 6 000 hommes de troupe débarquent sur les plages de Dieppe, au nord de la Seine. Parmi eux figurent 1 005 commandos britanniques, 50 rangers américains, 15 Français et 4 963 hommes et officiers de la 2e division d'infanterie canadienne, dont le régiment franco-canadien des fusiliers Mont-Royal.
Les Anglo-Saxons veulent par cette opération tester les défenses allemandes et préparer un futur débarquement de masse. Mais un convoi allemand repère la flotte alliée et donne l'alerte. Le débarquement vire à la tragédie. L'aviation allemande mitraille et bombarde sans répit les plages sur lesquelles les chars d'assaut se révèlent incapables de manœuvrer. La retraite en désordre laisse 1 380 tués et deux mille prisonniers.
Les Alliés tirent heureusement toutes les leçons de cet échec héroïque. Ils décident que le futur débarquement en Europe de l'Ouest aura lieu sur des plages à l'écart des ports existants. Dans cette perspective, ils se lancent dans la mise au point d'un grand port artificiel. Ce sera Arromanches...
Le Premier Ministre du chah d'Iran, Mohammad Mossadegh, est renversé sous la pression des Britanniques, avec le concours de la CIA (service américain de contre-espionnage) dirigée par Allan Dulles.
Les Anglo-Saxons lui reprochent d'avoir nationalisé les gisements pétroliers d'Iran et exproprié l'Anglo-Iranian Oil Company, fondée en 1908 par William d'Arcy et plus tard rebaptisée British Petroleum, BP)...
En Afrique du Sud, à Marikana, à l'ouest de Pretoria, des mineurs d'une mine de platine manifestent pour des augmentations de salaires et des conditions de travail plus dignes. La police tire. On compte 34 morts.
C'est la consternation dans le pays, où l'on constate que l'accession de la majorité noire au pouvoir n'a pas remédié à la fracture sociale.
Les masses laborieuses se détournent du gouvernement et des syndicats, gangrenés par la corruption et le népotisme. Les investisseurs étrangers quittent sur la pointe des pieds un pays où l'insécurité et les inégalités battent des records mondiaux... L'après-Mandela s'annonce rude...
Née à Vaucouleurs (Lorraine) des amours d'une couturière, Anne Bécu, et d'un jeune moine déluré, Jeanne reçoit une éducation soignée chez les sœurs, à Paris, avant de devenir modiste... puis d'être présentée à la cour de Versailles. Dernière maîtresse officielle du roi Louis XV, elle est après sa mort reléguée dans sa propriété de Louveciennes. ■
Il a notamment inventé la machine à coudre.
La Révolution française aura contribué à faire de lui un esprit non conformiste. Après quelque temps d'études au séminaire Saint Jean à Lyon, il quitte ses parents et s'en va travailler comme tailleur journalier à Panissières. En 1823, il s'installe dans un faubourg de Saint-Étienne, au lieu-dit Les Forges. En tirant l'aiguille pour habiller ses clients, il est hanté par l'idée de coudre mécaniquement et d'utiliser un crochet analogue à celui utilisé par les ouvrières qui font des broderies au crochet dans les monts du Lyonnais.
En 1829, il met au point le premier métier à coudre. Pour mettre en valeur son invention, il signe un contrat avec Auguste Ferrand, ingénieur des mines, qui va se charger de faire les dessins et la demande de brevet de la machine à coudre. Avec ce contrat, Ferrand s'attribue la copaternité de l'invention dont le brevet est délivré le 17 juillet 1830. La même année, et grâce à huit commanditaires, s'ouvre le premier atelier mécanique de confection du monde. Celui-ci va fabriquer les uniformes de l'armée.
Suite à la destruction de l'atelier par des ouvriers en colère, Thimonnier retourne à Amplepuis, reprend son travail de tailleur et continue à chercher des améliorations à sa machine. Il dépose successivement des brevets en 1841, 1845 et 1847 pour des nouveaux modèles de machines à coudre, mais la situation est difficile et le succès n'est pas au rendez-vous. Bien qu'ayant remporté des prix à des expositions universelles et ayant eu des éloges dans la presse, l'utilisation de la machine ne se répand pas. La situation financière de Thimonnier est difficile, il doit cependant faire vivre sa famille. ■
WikipediaLe premier axe de sa pensée est « le culte du Moi » : Barrès affirme que notre premier devoir est de défendre notre moi contre les Barbares, c'est-à-dire contre tout ce qui risque de l'affaiblir dans l'épanouissement de sa propre sensibilité. Le second axe est résumé par l'expression « La terre et les morts » qu'approfondissent les trois volumes du Roman de l'énergie nationale : Les Déracinés (1897), L'Appel au soldat (1900) et Leurs Figures (1902) qui témoignent de l'évolution de Maurice Barrès vers le nationalisme républicain et le traditionalisme, l'attachement aux racines, à la famille, à l'armée et à la terre natale.
Il est resté l'un des maîtres à penser de la droite nationaliste durant l'entre-deux-guerres. ■
WikipediaPionnier de l'aviation
Les frères Wright sont originaires de Dayton dans l'Ohio, où ils possèdent un atelier de bicyclettes. En relation avec Octave Chanute, ils réalisent en 1899 un planeur à échelle réduite de type cellulaire (biplan à haubans) et, innovation majeure, muni d'un contrôle du gauchissement de la voilure. Ce planeur est essayé en vol comme un cerf-volant, « piloté » depuis le sol. Dès le début, et suivant les recommandations de Chanute, les frères Wright ont compris l'importance et la nécessité de l'expérimentation et du contrôle (du pilotage) de la machine.
Après des vols de mise au point sur planeurs, ils ont effectué en 1903 le premier vol motorisé contrôlé d'un avion. Ils se sont distingués de leurs prédécesseurs et de leurs contemporains par leur approche analytique et expérimentale du problème. Leur contribution essentielle sera d'avoir correctement analysé la mécanique de vol du virage et d'avoir réalisé, en 1902, les premiers vols contrôlés grâce au couplage de la gouverne de direction et du gauchissement (obtenu par vrillage) des ailes. Maîtrisant le pilotage, ils effectuent en 1903 le premier vol motorisé, et en 1905 les premiers vols pouvant être qualifiés de « stables », de longue durée, avec des virages inclinés et non dérapés. Cependant, leur obsession du secret autour de leurs machines et de leurs capacités à réaliser un vol motorisé contrôlé (qu'ils maintiendront presque totalement jusqu'à l'obtention de brevet d'invention en 1905) entraînera un scepticisme général, en particulier en Europe, quand ils commenceront à communiquer en 1905 tout en exigeant un contrat commercial ferme avant toute démonstration. Ce qui explique le décalage de plusieurs années entre les premiers vols contrôlés de 1905, à l'écart de tous spectateurs dans les dunes de Virginie, et les vols publics de 1908 où leur maîtrise du pilotage sera reconnue. Consacrant leur énergie à protéger leur invention et à des luttes de brevets, ils ne remettent pas en cause la configuration atypique de leur machine (configuration canard, pas d'ailerons, pas de roues, hélices à l'arrière), qui est obsolète en 1910 et ne sera pas poursuivie. ■
WikipediaSpéléologue et écrivain
Au cours de la Première Guerre mondiale, en 1915, Norbert rejoint le régiment de son frère Jean. Démobilisé en 1919, il contracte la grippe espagnole. Du conflit, il conservera le casque de tranchée qu'il utilisera, muni d'une lampe, pour ses futures explorations spéléologiques.
Au retour du front, poussé par son père, il entame des études de droit et devient clerc de notaire, fonction qu'il abandonnera vite ; puis toujours sur commande paternelle, il s'engage dans l'agronomie sans toutefois y trouver un intérêt.
En 1924, il rencontre sa future épouse, Élisabeth, née en 1905 ; une fille de médecin qui se destinait à la médecine, mais qui ne poursuivra pas ses études après leur mariage célébré la même année. Plus tard, elle accompagne Norbert dans nombre de ses explorations (grotte Casteret, expédition dans les monts Maudits de la vraie source de la Garonne).
Norbert Casteret avait fait sienne la devise et locution latine « Ad augusta per angusta » (vers de grandes choses par des voies étroites). ■
WikipediaAvec l'assassinat de Jules César, Rome plonge à nouveau dans la guerre civile. Son petit-neveu Octavien rétablit la paix civile. Il restaure les formes de la République sénatoriale en s'arrogeant tous les pouvoirs, y compris le commandement militaire ; en latin imperium. Le titulaire de l'imperium est l'imperator dont nous avons fait empereur.
En 27 avant J.-C., le Sénat romain décerne à Octavien le surnom d'Augustus (Auguste). Ce titre honorifique désigne celui qui agit sous de bons auspices. Sous le très long gouvernement d'Auguste s'épanouit la culture latine avec les artistes Virgile, Horace,... et un riche protecteur des artistes dont le nom, Mécène, est devenu nom commun !... Et l'on ne saurait oublier que c'est au temps de l'empereur Auguste que naît à Bethléem, un petit village au sud de Jérusalem, un enfant du nom de Jésus. ■
Blaise Pascal est une météorite dans l'Histoire de la pensée. Mort d'épuisement et de maladie à seulement 39 ans, il laisse une oeuvre prodigieusement féconde tant dans le domaine des sciences que dans celui de la philosophie. Il est aussi l'inventeur d'une machine à calculer, la «pascaline», et même des premiers omnibus. Il a enrichi les lettres françaises avec des écrits spirituels et mystiques aux antipodes des préoccupations contemporaines, ce qui fait de lui le cauchemar des collégiens !. ■