Ephéméride
Aubin
01 mars

Moine près de Guérande, Aubin devint évêque d'Angers en 529. Il se signala par ses dénonciations de l'inceste qui était, paraît-il, pratique courante parmi les guerriers francs de l'époque mérovingienne.

Source Hérodote

11e jour du mois de Ventôse dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du Narcisse..

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11e jour des Poissons (12een cas d'année bissextile).

Dictons du jour

À mars poudreux, avril pluvieux.
Quand mars mouillera, bien du vin tu auras.
Quand pour mars il tonne, l'année sera bonne.
Au commencement ou à la fin, mars a son poison et venin.
Mars venteux et avril pluvieux font le mai gai et gracieux.
Quand il pleut à la Saint-Aubin, l'eau est plus chère que le vin.
Quand il pleut à la Saint-Aubin, n'as ni paille, ni foin, ni grain.

Journée mondiale

Journée mondiale du compliment

Prénoms du jour

Bonne fête aux Aubin et ses dérivés : Albin, Albina, Albine, Albino.
Et aussi aux Jonathan et son dérivé Jonathane, Jonathann, Yonatan, Yonathan.
Suitbert et ses dérivés : Sultbert, etc.

Historique Philatélique

  • Timbres d'usage courant aux changements des tarifs postaux
  • 1945
  • (20g) Lettre 1er ech. pour l'intérieur : 2f
  • 2005
  • (20g) Lettre prioritaire pour l'intérieur : Marianne de Lamouche : 0.53€

    Événements

  • 293 : Dioclétien instaure la « tétrarchie »
  • L'empereur romain Dioclétien instaure la tétrarchie, une forme originale de gouvernement à quatre. Il découpe les vastes provinces de l'empire et crée des circonscriptions de taille plus réduite, plus faciles à organiser et défendre. Rome n'est plus le siège du gouvernement. La Ville éternelle est délaissée au profit de quatre capitales frontalières plus proches des légions...

  • 487 : Le vase de Soissons
  • Selon le chroniqueur Grégoire de Tours (539-594), Clovis, âgé de 20 ans et encore paîen, avait pillé diverses églises, notamment à Reims.

    L'évêque de la ville, identifié à Remi (ou Rémi), le prie de lui restituer un vase remarquable et le jeune roi des Francs, soucieux de lui plaire, le lui promet. C'est ainsi qu'à Soissons, devant le butin rassemblé, il demande à ses soldats la permission d'enfreindre l'usage, qui est de distribuer le butin par tirage au sort, en en restituant un lot. Mais l'un des soldats, envieux et impulsif, s'insurge et frappe de sa francisque le vase qui s'en trouve cabossé. Clovis ravale sa rage et restitue malgré tout le vase à l'évêque...

  • 1244 : Chute de Montségur
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    La forteresse de Montségur tombe aux mains du sénéchal de Carcassonne après un siège de 9 mois. 205 réfugiés cathares sont jugés par l'Inquisition et brûlés vifs quelques jours plus tard...

  • 1382 : La révolte fiscale des Maillotins
  • Marchands et artisans parisiens, exaspérés par la pression fiscale et les désordres de la cour, prennent à parti les agents du fisc. Cette révolte fiscale surgit pendant la guerre de Cent ans qui met aux prises la monarchie capétienne et le roi anglais...

  • 1562 : Massacre de Wassy
  • Six semaines après l'édit de Janvier qui a autorisé le culte calviniste à l'extérieur des villes closes, 200 protestants du village de Wassy (ou Vassy), en Champagne, écoutent un prêche dans une grange, à l'intérieur de la ville close et dans des conditions donc illégales.

    Ils sont surpris par les soldats de François II de Guise, Sur son ordre, la troupe massacre sauvagement les protestants. On compte une trentaine de morts et une centaine de blessés.

    C'est le début des guerres de religion qui affecteront la France pendant plus de trente ans...

  • 1565 : Fondation de Rio de Janeiro
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    Sur la côte du Brésil, au fond d'une baie, le capitaine portugais Estácio de Sá fonde la ville de São Sebastião do Rio de Janeiro.

    La première partie de son nom rappelle le roi Sébastien 1er qui règne alors sur le Portugal ; la deuxième partie rappelle que la baie, découverte en 1502 le jour de la Saint Janvier (Janeiro), a été prise à tort pour l'estuaire d'un fleuve (rio).

    Plus simplement appelée Rio de Janeiro ou Rio, la ville devient capitale du Brésil colonial le 31 août 1763, au détriment de Salvador de Bahia. Le 21 avril 1960, elle perd son statut de district fédéral et de capitale au profit de Brasìlia. Elle constitue depuis lors un nouvel état brésilien : Guanabara...

  • 1580 : Publication des Essais
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    Publication des Essais à Bordeaux. L'œuvre de Michel de Montaigne reçoit un accueil excellent tant du public cultivé que du roi lui-même...

  • 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, début des Cent-Jours
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    Napoléon débarque à Golfe-Juan avec 900 grenadiers, en provenance de l'île d'Elbe.

    Confiné par les Alliés dans cette île pauvre et à peine peuplée de 10 000 habitants, l'ex-empereur des Français s'est refait une santé. Ruminant son abdication forcée, il ne se satisfait pas de la souveraineté sur l'île et du titre d'empereur qui lui a été généreusement laissé. Il est aussi contrarié de ne pas recevoir la pension de 2 millions de livres promise par son successeur Louis XVIII et regrette l'absence de sa femme Marie-Louise et de son fils. Il a par ailleurs vent de rumeurs faisant état de son possible transfert sur un îlot beaucoup plus hostile, Sainte-Hélène !...

  • 1896 : Les Italiens défaits à Adoua
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    100 000 éthiopiens répondent à l'appel de leur empereur ou Négus Ménélik II. Bien armés et dotés d'une artillerie grâce à la bienveillance des Anglais, ils écrasent une armée italienne de 18 000 hommes (dont 10 000 Européens) près de la localité d'Adoua. Le héros du jour est un prince éthiopien, le ras Makkonen.

    Commandés par le général Baratieri, les Italiens projetaient de conquérir le dernier pays indépendant d'Afrique noire...

  • 1919 : Les Coréens manifestent pour l'indépendance
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    Les Coréens défilent en masse à Séoul, capitale du pays, pour réclamer leur indépendance. Un gouvernement est bientôt constitué en exil à Shanghai, sous la présidence du docteur Syngman Rhee. Quelques années plus tôt, le 22 août 1910, le « royaume du Matin calme », précédemment vassal de la Chine, avait été annexé par le Japon...

  • 1970 : Les Rhodésiens blancs proclament leur indépendance
  • Les colons blancs de la Rhodésie britannique proclament leur indépendance sous l'égide de Ian Smith. Pour la première fois depuis l'indépendance des état-Unis, la Grande-Bretagne est confrontée à une sécession unilatérale.

    Les Blancs de Rhodésie devront en 1979 partager le pouvoir avec la majorité noire. L'année suivante, le leader communiste Robert Mugabe deviendra le Premier ministre d'un nouvel état baptisé Zimbabwe (capitale : Harare, ex-Salisbury)...

    Naissances

  • Sandro Botticelli
    Né en 1444 à Florence (Italie) - Décédé le 17 mai 1510 à Florence (Italie)
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    Sandro Botticelli, illustre peintre du Quattrocento (le XVe siècle italien) est né sous le nom d'Alessandro Filipepi, dans la famille d'un tanneur. Comme l'un de ses frères, rondouillard, avait été surnommé Botticelli, qui signifie petit tonneau, le sobriquet fit le tour de la famille et fut accolé au futur peintre, élève de Filippo Lippi... ■

  • François-Séverin Desgraviers-Marceau
    Né en 1769 à Chartres - Décédé le 21 septembre 1796 à Altenkirchen (Rhénanie-Palatinat)
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    Fils d'un procureur au bailliage de Chartres, il est destiné au barreau ; mais il s'engage à 16 ans dans l'infanterie, en 1785. Marceau « était grand et bien fait les yeux grands et brun le teint pâle, la bouche couverte par une fine moustache rousse ; de longs cheveux châtains, l'ensemble de sa personne était plein de distinction et d'élégance ».

    àla Révolution, il s'engage dans la Garde nationale de Chartres, le 14 juillet 1789, et accède en octobre au grade de capitaine. En 1792, il est promu lieutenant-colonel. Suite à la déclaration de la guerre le 20 avril, son bataillon rejoint l'armée des Ardennes. La parole entraînante de Marceau contribua à faire rentrer les troupes dans l'obéissance ; un certain nombre d'officiers allaient rejoindre La Fayette, Marceau les décida à rester au camp par une harangue patriotique : « La patrie avant nos généraux : notre place est à la frontière, vous tournez le dos à l'ennemi ! ».

    Il est envoyé à l'armée de l'Ouest et à l'occasion de sauver, à la bataille de Saumur la vie de Bourbotte qui, entouré d'ennemis, allait succomber. La Convention recommanda Marceau au Ministre de la guerre pour qu'il l'élève à un rang supérieur. Cette conduite lui vaut le grade de général de brigade. Devant la nécessité de réunir les deux armées de l'Ouest, ils confient à Marceau, sur la proposition de Kléber, le commandement en chef avec le grade de général de division, mais à titre transitoire.

    Muté en 1794 dans l'armée des Ardennes, puis dans l'armée de Sambre-et-Meuse, comme général de division, il a deux chevaux tués sous lui à la bataille de Fleurus. Forcé de lever le blocus de Mayence, il est chargé de couvrir la retraite de l'armée. Tandis que pour donner le temps à l'armée de passer le défilé d'Altenkirchen, il arrête la marche du corps ennemi mais il reçoit d'un chasseur tyrolien un coup mortel dans la forêt d'Höchstenbach, qui le laisse entre les mains de l'ennemi. ■

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  • Frédéric Chopin
    Né en 1810 à Zelazowa-Wola (Pologne) - Décédé le 17 octobre 1849 à Paris
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    Frédéric Chopin est né d'une aristocrate polonaise et d'un père français, émigré en Pologne. Pianiste prodige, lui-même s'exile à Paris où il vit en donnant des leçons et se prend de passion pour le bel canto. Il va y puiser l'essentiel de son inspiration. Ses amis Eugène Delacroix et George Sand qualifient de « Note bleue » son toucher musical en demi-teinte...

    Ce compositeur romantique, coqueluche des salons, s'est activement engagé dans les luttes révolutionnaires de son époque et en particulier le soulèvement des Polonais contre l'occupant russe. Mort prématurément de la tuberculose, il reste le symbole le plus attachant des liens qui unissent la France et la Pologne. Son corps repose au Père Lachaise, à Paris, mais son cœur, selon ses dernières volontés, est incrusté dans un pilier de l'église Sainte-Croix de Varsovie... ■

    Décès

  • Benjamin Delessert
    Né le 14 janvier 1773 à Lyon - Décédé en 1847 à Paris
  • Issu d'une famille de soyeux, Benjamin Delessert s'est formé en Grande-Bretagne, le pays le plus en avance de son époque, aux techniques industrielles (la machine à vapeur de Watt). Il a également suivi les cours du fondateur de l'économie politique, Adam Smith en personne.

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    En 1795, tandis que la France se remet avec peine des désordres de la Terreur, il crée un bureau de bienfaisance à Paris puis, en 1800, le premier « fourneau économique Rumford ». C'est l'ancêtre des soupes populaires.

    Mais cet infatigable entrepreneur, plutôt que de faire la charité aux travailleurs nécessiteux, préfère leur apporter un soutien actif et les aider à se prendre en charge, selon le principe que développera bien plus tard l'abbé Pierre ! En 1801, il crée la Société d'encouragement pour l'enseignement industriel et, l'année suivante, la Société philanthropique, dont le but est de promouvoir toutes inventions ou innovations sociales susceptibles d'aider les pauvres : création de dispensaires, patronage de sociétés de secours mutuels, etc... ■

  • Tristan Corbière
    Né le 18 juillet 1845 au manoir de Coat-Congar à Morlaix (Finistère) - Décédé en 1875 à Morlaix
  • Après une enfance passée sans histoire dans le manoir du Launay à Morlaix, Tristan est envoyé à l'âge de quatorze ans en pension au lycée impérial de Saint-Brieuc. C'est à cette époque qu'il commence à souffrir du rhumatisme articulaire qui lui gâchera l'existence et qui aura raison de lui.

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    Son état de santé s'aggravant, il entre au Lycée Georges-Clemenceau en qualité d'externe. Deux ans plus tard, son état de santé l'oblige à cesser ses études. Commence alors une vie de marginal ; il voyage dans le sud de la France, où il lit les œuvres de Hugo, de Baudelaire et de Musset.

    Il s'installe ensuite à Roscoff, les habitants du village le surnomment l'« Ankou », c'est-à-dire le spectre de la mort, en raison de sa maigreur et de son allure disloquée.

    Délaissant son prénom d'état-civil, édouard-Joachim, pour prendre celui, plus évocateur, de Tristan (pour « Triste en corps bière »), il fait paraître à compte d'auteur en 1873 son unique recueil de poèmes, Les Amours jaunes, qui passe inaperçu. Lui qui ne connut aucun succès de son vivant, il sera révélé de manière posthume par Verlaine.

    Le poète qui rêvait d'être marin ne put satisfaire son désir de courir les mers, mais il aima la mer comme un fou.

    Il n'a pas trente ans quand il décède et n'a connu qu'une vie de solitude, brève et misérable, constamment atteint dans sa chair par la maladie, malheureux en amour, englué dans une passion unique et sordide. ■

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  • Jean Mounet-Sully
    né le 27 février 1841 à Bergerac (Dordogne) - Décédé en 1916 à Paris
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    Issu d'une famille bourgeoise qui le destinait à devenir avocat, il préfère suivre sa vocation et devenir acteur. Après un an d'études au Conservatoire de Paris, il débute à l'Odéon en 1868.

    Lors de la guerre de 1870, il est affecté comme lieutenant en Dordogne. Grâce à l'appui de son ancien maître au Conservatoire, il entre alors à la Comédie-Française. Il y débute le 4 juillet 1872 dans le rôle d'Oreste. Le public l'applaudit, mais la critique reste réservée, lui reprochant son jeu trop peu conventionnel. Servi par une stature imposante, des gestes harmonieux et une belle voix, il va néanmoins s'imposer comme un des tragédiens les plus renommés de son temps. Ayant une haute idée de son art, il renouvelle un art qui n'avait pas connu un tel bouleversement depuis Talma.

    Nommé 297e sociétaire dès 1874, il joue les grands rôles du répertoire : Rodrigue dans Le Cid, Néron dans Britannicus, Hippolyte dans Phèdre, Orosmane dans Zaîre, atteignant son apogée en 1881 dans Œdipe roi.

    En 1885, il met en scène une version plus moderne de Britannicus qui emporte l'adhésion du public. En 1886, il connaît un nouveau triomphe dans le rôle d'Hamlet. Il devient doyen en 1894. En 1914, lorsque la guerre éclate, son statut le conduit à défendre les intérêts de la Comédie-Française alors qu'une partie de la troupe est mobilisée, et qu'il devient difficile de jouer. Il est l'auteur d'une pièce en cinq actes, La Buveuse de larmes, et de deux pièces en vers : Gygès et La Vieillesse de Don Juan. ■

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  • Arthur Honegger
    Né le 10 mars 1892 au Havre - Décédé en 1955 à Paris.
  • En 1911, deux ans après s'être inscrit au Conservatoire de Zurich, Honegger le quitte pour le Conservatoire de Paris, dans lequel il étudie le violon et rencontre Darius Milhaud et Jacques Ibert. Il est élève de Charles-Marie Widor et Vincent d'Indy.

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    Très attaché au renouveau du répertoire, il est influencé par Igor Stravinsky, sur lequel il écrit un essai en 1939. Compositeur prolifique et désireux d'illustrer la transformation de la société, notamment par la technique ou le sport, Honegger écrit pour le théâtre, la radio et le cinéma aussi bien que pour la salle de concert : ballets, chansons, concertos, musique de chambre, musiques de films, opéras, oratorios, symphonies.

    En 1921, il connaît le succès avec le Roi David, pièce de René Morax, qu'il transforme en oratorio en 1924. Son œuvre la plus célèbre, créée en 1923, est Pacific 231, premier de trois mouvements symphoniques et dédiée à la locomotive à vapeur éponyme. Les deux autres mouvements du triptyque s'intitulent Rugby et Mouvement symphonique no 3. Durant l'Occupation, refusant de quitter Paris, il réagit à la dégradation de la situation internationale en écrivant ses Trois Poèmes de Claudel, les Trois Psaumes et sa Symphonie no 2 pour orchestre à cordes et trompette ad libitum.

    En 1953, il est nommé membre étranger de l'Académie des beaux-arts et, l'année suivante, il est fait grand officier de la Légion d'honneur. Il est par ailleurs critique musical et professeur à l'école normale de musique de Paris. Il est également l'un des membres du groupe des Six, avec Georges Auric, Louis Durey, Darius Milhaud, Francis Poulenc et Germaine Tailleferre. ■

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  • Alain Resnais
    Né le 6 juin 1922 à Vannes (Morbihan) - Décédée en 2014 à Neuilly-sur-Seine
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    Alors qu'il envisage de devenir comédien, il intègre la première promotion de l'IDHEC en montage et commence, à la fin des années 1940, à réaliser des courts métrages et moyens métrages documentaires qui marquent le public et la critique : Van Gogh, Guernica et surtout Nuit et Brouillard, premier film de référence sur les camps de concentration.

    Réalisateur d'Hiroshima mon amour (1959) et de L'Année dernière à Marienbad (1961), Alain Resnais est rapidement considéré comme l'un des grands représentants du Nouveau cinéma (Nouvelle Vague) et comme un des pères de la modernité cinématographique européenne à l'instar de Roberto Rossellini, Ingmar Bergman et Michelangelo Antonioni dans sa manière de remettre en cause la grammaire du cinéma classique et de déconstruire la narration linéaire.

    Cinéaste appréciant les expérimentations, capable de se remettre en question à chaque nouvelle réalisation, Alain Resnais est reconnu pour sa capacité à créer des formes inédites et à enrichir les codes de la représentation cinématographique par son frottement à d'autres arts : littérature, théâtre, musique, peinture ou bande dessinée. Ses films, tendant vers l'artifice et l'imaginaire, peuvent paraître déroutants pour le grand public même si beaucoup ont rencontré le succès.

    Tout au long de son œuvre, se retrouve un grand nombre de thèmes tels que des sujets historiques, la mémoire, l'engagement politique, l'intimité, la réalité de l'esprit, le rêve, le conditionnement socio-culturel, la mort, la mélancolie et l'art. ■

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