La Poste émet un timbre à l’effigie de Sainte Odile à l’occasion du 1300e anniversaire de sa disparition.x
L’illustration rappelle une icône, Sainte-Odile est vêtue de son habit d’abbesse bénédictine et tient une crosse dans la main ainsi qu’un livre où figurent ces yeux symbolisant le fait qu’elle ait retrouvé la vue le jour de son baptême. Au second plan on aperçoit le Mont Sainte-Odile.
Sa légende se confond avec les pentes boisées du mont vosgien qui porte son nom et domine la plaine d’Alsace et la vallée du Rhin.
Odile, officiellement sainte patronne de la région depuis 1946, était la fille du duc Adalric et de sa femme, Bereswinde. Le récit le plus ancien relatant sa vie date du Xe siècle, mais elle serait née à l’époque mérovingienne, aux alentours de l’an 662. Espérant un héritier mâle, son père renie l’enfant qui, de surcroît, souffre de cécité. Sauvée de la mort par sa mère, elle est envoyée grandir au loin dans une abbaye où saint Erhard, évêque irlandais missionnaire en Bavière, suivant une vision qui lui commande d’aller baptiser une jeune aveugle, lui fait recouvrer la vue et la nomme Odile, « fille de lumière ». Revenue en Alsace, elle crée avec l’aide de son père repenti plusieurs établissements religieux pour accueillir les malades et les nécessiteux, et meurt abbesse, entourée de ses moniales en 720.
Après sa mort, son culte se répand à travers la France et l’Allemagne et les textes hagiographiques se multiplient, ajoutant des éléments à la légende et permettant à d’autres lieux de s’approprier l’histoire de la sainte. Certains d’entre eux reprennent le récit après la guérison de la jeune Odile et racontent son retour au palais familial en compagnie de son frère Hugues : fou de colère, le père aurait tué son fils et pourchassé sa fille au-delà du Rhin, un rocher se serait alors ouvert devant elle, dans la Forêt-Noire, du côté de Fribourg, pour lui offrir refuge. Odile est souvent représentée avec un calice contenant ses yeux, vêtue de son habit d’abbesse bénédictine, qui la distingue de Lucie, l’autre sainte des malvoyants, longtemps fêtée aussi le 13 décembre.
La basilique abritant son tombeau et celui de ses parents, reconstruite au XVIIe siècle sur les ruines de la première abbaye et qu’on appelle aujourd’hui l’abbaye du Hohenbourg, est le haut lieu spirituel de l’Alsace. ■
La Poste initie ce nouveau format de présentation à la feuille, constituée de seulement 15 timbres, sur un format de feuille de 143 mm X 185 mm avec des marges illustrées. Les marges de la feuille, imprimée en taille-douce, sont illustrées par des enluminures, le blason, de la ville et les bâtiments emblématiques. Au cours de l’année 2020, dix timbres (9 du programme philatélique français et 1 timbre du programme philatélique d’Andorre) seront émis selon ce nouveau format et dans différentes techniques d’impression. En fonction de la taille du timbre de chacune des émissions, le nombre de timbres sera compris entre 9 et 15, mais le format total de la feuille sera constant. Ce nouveau format doit permettre une plus grande accessibilité des produits dans les bureaux de poste et répondre aux attentes des philatélistes, la découpe sera facilitée par des dentelures allant jusqu’en bordure des feuilles.
Antoine Vigne - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un timbre en l’honneur de Saint-Vaast-la-Hougue « Village préféré des Français 2019 ».
Saint-Vaast-la-Hougue, dans la région Normandie, a été élu « Le Village préféré des Français » en 2019, lors de l’émission de France 3 présentée par Stéphane Bern.
Pour l’édition 2020, qui se déroulera le 1er Juillet à 21H00, Stéphane Bern annoncera le « Village préféré des Français 2020 », désigné à l’issue d’un vote des téléspectateurs, parmi les 14 concurrents : 13 villages qui représentent les 13 régions de France métropolitaine et un village de l’île de la Martinique qui représentera l’Outremer.
À cette occasion, il dévoilera le timbre de Saint-Vaast-la-Hougue, Manche, le Village préféré de l’année 2019. Émis à 900 000 exemplaires.
Saint-Vaast-la-Hougue est une commune de Normandie située dans la presqu’île du Cotentin. Des crêtes alentour, on découvre un paysage grandiose : celui d’un village qui défie la mer. Toutes les nuances de bleu, celui de la mer et du ciel, en constituent le fond sublime.
Ce paysage s’est vu traversé au fil du temps par la grande histoire : arrivée des Vikings, naissance de la Normandie, guerres maritimes sous Louis XIV et Napoléon, débarquement de 1944.
Quand on arrive dans le village, on ne peut échapper aux amers que constituent les deux tours construites par Vauban, une sur l’île Tatihou, l’autre sur le site de la Hougue, pour protéger le village des belligérants. Le cheminement entre ces deux tours, inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008 et dont l’une est accessible par un bateau amphibie, laisse un souvenir inoubliable. Le promeneur pourra également déambuler autour du port, coeur du village.
Petits ou grands, de pêche ou de plaisance, les bateaux et leurs équipages sont une attraction journalière du village. C’est le cas notamment du Jean Renet, chalutier construit en 1972, qui incarne toute une mémoire de la pêche. Le port abrite aussi des vieux gréements : le Marie-Madeleine, construit à Saint-Vaast, ou le Fleur de Lampaul, tous deux classés monuments historiques. Lorsqu’ils naviguent toutes voiles dehors dans la baie à marée haute, ils font la fierté et la joie des habitants. La marée basse découvre un tout autre paysage, celui des parcs à huîtres cultivées sur tables. Inspiré par ces paysages, on pourra aller acheter ou déguster dans les commerces et restaurants les poissons, les crustacés et les huîtres à la saveur singulière de noisette.
C’est cette attractivité unique qu’ont appréciée les personnes qui l’ont élu « Village préféré des Français » en 2019. ■
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un timbre « Gastronomie traditionnelle méditerranéenne », dans le cadre d’EUROMED POSTAL.
Tout Marseillais qui se respecte vous dira que la seule, la vraie bouillabaisse est tout simplement… la sienne ! Car l’art et la manière de la préparer n’est pas donné à tout le monde : il faut se méfier des pâles imitations. À l’origine, ce plat modeste consistait à faire bouillir, au retour de la pêche, dans un chaudron rempli d’eau de mer, les poissons trop abîmés pour être vendus ou qui n’avaient pas trouvé preneurs. La première mention de ce plat culte remonte à la fin du XVIIIe siècle, mais il s’agit alors plutôt d’un mode de cuisson à feu fort, que l’on baisse aux premiers bouillons, avec cette recommandation : « quand ça bout, baisse le feu » ou « bouille et baisse », « bouiabaisso » en provençal, qui donnera le mot « bouillabaisse ».
Les poissons de roche lui apportent son goût iodé et corsé. On y ajoute en général des petits rougets, de la lotte, du merlan, de la rascasse, du saint-pierre, quelques étrilles, des tomates, oignons, poireaux, du céleri, de l’ail et de l’huile d’olive, sans oublier l’indispensable pincée de safran. On sert le bouillon d’abord, les poissons ensuite, accompagnés de rouille et de croûtons.
La bouillabaisse est l’un des fleurons de la cuisine méditerranéenne qui, autour d’une nature pourvoyeuse de richesses et d’échanges, a su explorer les traditions culinaires de cette « mer du milieu » entre Europe, Afrique et Proche-Orient.
À partir des produits de la mer, des légumes du soleil, des fruits de la vigne et du verger et, bien sûr, de l’emblématique huile d’olive sont nées des spécialités qui, sur fond de parfums de garrigue, égrènent leur nom gorgé de soleil : tapenade, anchoïade, pissaladière, petits farcis, ratatouille, tians… Un patrimoine gastronomique qui parle d’art de recevoir, de générosité et rend hommage au soleil et à la mer. ■
Né en 2011 sur une initiative de La Poste, EUROMed Postal rassemble 21 pays de la région méditerranéenne. Il comprend des opérateurs européens ainsi que de la ligue des pays arabes tels que la Tunisie, le Maroc, l'Algérie ou le Liban. les membres d’EUROMed Postal effectuent une émission annuelle sur un sujet commun. Après les « arbres de Méditerranée », les « maisons de Méditerranée », c’est le thème des « costumes de Méditerranée » c’est le thème de la « Gastronomie traditionnelle méditerranéenne » qui a été retenu. Et pour la seconde fois en 2020, ils organisent un concours du plus beau timbre. Seize membres ont joué le jeu et c’est une myriade de plats traditionnels que nous retrouvons sur des timbres tous émis le 13 juillet 2020. Jusqu’au 8 octobre, il vous est possible de voter pour votre timbre préféré. Pour participer au concours, rendez-vous sur : EUROMed Postal
Fabienne Azire - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Internationale 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un timbre à l’effigie de Luis MARIANO à l’occasion du 50e anniversaire de sa disparition.
Lorsqu’il ouvrait la bouche pour donner de la voix, il chantait à ravir, à la façon d’un rossignol milanais. Il montait et descendait la gamme en virtuose. Toute sa vie, Luis Mariano ne fit que ce qu’il aimait faire : chanter !
Luis Mariano Eusebio Gonzalez y Garcia poussa son premier cri le 13 août 1913 ou 14 (sa mère changea sa déclaration sur les registres de l’état civil pour lui éviter d’être enrôlé trop tôt dans l’armée) à Irun, petite ville située à la frontière pyrénéenne, côté espagnol. Luis, né dans un milieu modeste, apprit à chanter dans une chorale basque. Devenu chanteur d’opéra au sortir du conservatoire de Bordeaux, il démarra une carrière de ténor à l’Opéra-Comique de Paris avant de suivre les conseils d’un vieux professeur de chant qui lui suggérait d’embrasser le répertoire du bel canto. Il fit ainsi une carrière sans pareille dans l’opérette. Adoré par les femmes qui le portaient aux nues, Luis Mariano, ses deux premiers prénoms accolés firent son nom, chevelure brillantinée, physique exotique, taille mince, costumes colorés à pompons, nous raconte une époque bénie des dieux. Révélé au public par La Belle de Cadix, première des opérettes dont il fit un triomphe, à Noël 1945, il dut son phénoménal succès à son timbre d’argent, certes, aux airs de Francis Lopez et aussi aux temps qu’il traversa. Sa voix d’or, consacrée principalement au théâtre du Châtelet à Paris et sur les scènes du monde entier, résonnait comme un miracle et une mélodie de bonheurs. Mariano, de sa voix dont on disait qu’elle fendillait le cristal, chantait des royaumes imaginaires, des carnavals féeriques et invitait au rêve et à la romance. Refusant d’abandonner sa nationalité espagnole, ce fils de réfugiés voyageait de par le monde, multipliait les contre-ut à la fin du Chanteur de Mexico et cultivait son grand jardin peuplé de vaches, installé dans le petit village d’Arcangues où il est enterré sous une pierre tombale rose constamment fleurie. Cinquante ans après sa montée au ciel, le 14 juillet 1970, il continue, pour l’éternité, à nous faire croire à des lendemains qui chantent en nous enchantant de ses vocalises qui nous grisent. ■
Henry-Jean Servat - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Prioritaire 20g
Télécharger le communiqué de presse
Une émotion intense a étreint le monde lorsque le 15 avril 2019, Notre-Dame de Paris fut la proie d’un terrible incendie. Très vite, après le temps de la sidération, vint celui de la solidarité. Des initiatives se sont multipliées pour accompagner le projet de restauration de la cathédrale.
Maurice de Sully, évêque de Paris, en pose la première pierre en 1163. Sa construction durera plus d’un siècle, mais elle ne cessera par la suite, au gré des secousses de l’histoire de se modifier, de s’embellir. Vandalisée à la Révolution, la vieille cathédrale se réinvente au XIXe siècle grâce à Victor Hugo, qui lui redonne vie par son roman « Notre-Dame de Paris », et à l’architecte Viollet-le-Duc qui sera chargé de la réfection de l’édifice (1844-1864).
Tout au long de son histoire, Notre-Dame a accueilli des papes, des rois et des empereurs. Au XIIIe siècle, le roi saint Louis y a présenté la Couronne d’épines du Christ ; en 1804,
Napoléon Ier y fut sacré. On y a chanté bien des Te-Deum pour marquer les heures glorieuses de notre histoire, le Magnificat célébrant le triomphe du peuple de Paris libéré en 1944. Ce fut aussi, à l’époque contemporaine, le lieu des funérailles nationales. Lieu de culte catholique, mémoire vive de notre nation, Notre-Dame est aussi le point de rencontre de millions d’hommes et de femmes de toutes cultures et de toutes langues. Et sa façade dont la beauté faite de grandeur et de légèreté, d’harmonie et d’équilibre, de splendeur et de sérénité nous dit le message chrétien de l’Incarnation.
Sa contemplation nous fait héritiers de ses bâtisseurs : les tailleurs qui ont marqué de leur signature ces pierres assemblées en voûtes ou arcs boutants, les sculpteurs qui les ont transformées en saints, gargouilles ou chimères. Ce « livre de pierres », qui raconte plus de 850 ans de notre histoire, nous est confié. À nous d’en écrire les prochains chapitres… ■
Fabienne Azire et Jean-Pierre Cartier - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Internationale 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un timbre de la série touristique sur Bès-Bédène situé en Aveyron.
Aux confins du plateau de la Viadène, au pied de l’Aubrac, coule une petite rivière, la Selves, qui, serpentant vers les gorges de la Truyère dans un ravin étroit couvert de hêtraies, a façonné au fil des siècles un cirque remarquable. Juché sur un éperon rocheux, enchâssé au milieu de ce cirque boisé, majestueusement dominé par le puy de Montabès, Bès-Bédène apparaît.
Au coeur du Moyen Âge, un saint homme, Gausbert, installe son ermitage sur cet éperon rocheux qui devient prieuré puis église au XIIe siècle. Ce petit hameau, espace protégé, accueille des pèlerins venus passer la rivière par le pont romieu. L’église de style ogival au clocher-peigne à arcades d’influence bénédictine, magnifiquement restaurée, abrite deux retables du XVIe siècle, ainsi qu’une statue en bois polychrome du XVIIe, cinq statues en calcaire et d’admirables vitraux. Sous le presbytère, un musée reconstitue une école des années 1950. Dans les communs est aménagé l’Espace Charles-de-Louvrié, précurseur en aviation à réaction.
À partir de l’église, en suivant le cimetière clos de murs et son local au corbillard, où se tiennent les expositions temporaires estivales, les visiteurs peuvent effectuer une promenade qui, depuis la croix, mène au bout du promontoire par un chemin tortueux d’où l’on découvre des rochers impressionnants. Le plus remarquable, une quille de granit avec sur son sommet une énorme pierre posée à plat : la pierre tremblante. Ce parcours permet de voir sur l’autre rive les falaises granitiques. La visite se poursuit en descendant vers le pont Romieu bâti en granit, qui est l’un des plus remarquables en Rouergue. Enjambant la Selves d’une seule arche de plein cintre et double rouleau avec ressaut, ce pont a été construit antérieurement à 1292 et réparé en 1410. ■
Paul Tarral - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un timbre qui célèbre les 800 ans de la cathédrale d’Amiens.
Le timbre est illustré par le pavement de la nef de la cathédrale appelé « Labyrinthe de la cathédrale d’Amiens ». C’est un des éléments remarquables qui a été posé en 1288 par Renaud de Cormont. L’ange pleureur à droite est une sculpture présente sur un tombeau de la cathédrale. Elle a été popularisée pendant la première guerre mondiale par les soldats britannique qui envoyaient de nombreuses cartes postales le représentant.
Cliquez sur l'image pour Zoomer
En 1220, sous le règne de Philippe Auguste, la première pierre de la cathédrale d’Amiens est posée par son évêque, Évrard de Fouilloy. Amiens est alors une ville prospère qui tire une grande partie de sa fortune du monopole de la culture de la guède, plante tinctoriale dont est issu le bleu pastel. Il s’agit de bâtir pour cette ville en expansion un édifice religieux à sa mesure, sur les ruines de la vieille cathédrale romane qui vient d’être ravagée par un incendie. Chef-d’oeuvre de l’art gothique classique, mais annonçant déjà le style rayonnant, le bâtiment s’élance vers le ciel, avec élégance et légèreté. Longue de 145 m, haute de 42 m, la cathédrale d’Amiens est la plus vaste de France et pouvait, avec ses 7 700 m², accueillir la totalité de la population de la cité ! Elle était également la plus haute du royaume, avant que celle de Beauvais ne la dépasse. Cette « Bible de pierre » (Victor Hugo) a été construite en trois phases, de 1220 à 1236 pour la nef, de 1236 à 1247 pour le choeur, avec achèvement de la flèche en 1288. Pas moins de trois maîtres d’œuvre se sont relayés sur ce chantier titanesque, Robert de Luzarches, Thomas de Cormont puis son fils Renaud. Sur un modèle de croix latine, orientée en direction de Jérusalem, elle abrite les reliques de saint Jean-Baptiste rapportées dans la ville en 1206, à l’issue de la quatrième croisade. Du haut de ses tours, elle a vu passer huit siècles d’histoire : elle fut le témoin du mariage de Charles VI, transformée en temple de la Raison sous la Révolution, bombardée par les Allemands en 1918. Inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1981, elle continue de veiller sur la ville d’Amiens et d’élever les hommes qui la contemplent. ■
Affranchissement pour Lettre Prioritaire 20g
Télécharger le communiqué de presse
La Poste émet un carnet de timbres-poste The LAPINS CRÉTINS « Dans ta BWAAAHTE aux lettres ! »
Mais qui sont ces drôles de lapins ? ….
Créés en 2006 par Michel Ancel et ses équipes d’Ubisoft Montpellier, les Lapins Crétins sont passés du rang de personnages secondaires à celui de véritables stars.
Et des stars internationales, qui plus est ! Ils occupent depuis plusieurs années le haut de l’affiche d’une bonne demi-douzaine de jeux vidéo au succès planétaire. Personnage centraux d’une véritable franchise transmédia, ils sont également devenus les personnages principaux de centaines de vidéos parodiques, de bandes dessinées, d’une attraction du Futuroscope et, de quatre saisons d’une série télévisée diffusée partout dans le monde. Le dessin animé, qui les fait entrer au panthéon des personnages préférés des enfants (et des plus grands), leur vaut de devenir depuis 2017 « messagers des droits de l’enfant » pour l’Unicef et désormais d’avoir un timbre à leur effigie.
« Très peu de lapins peuvent se vanter d’avoir connu de tels honneurs. Et encore moins de crétins. Nous espérons que le public va apprécier ces superbes créations qui rejoignent directement le panthéon des timbres, a déclaré John Parkes, Directeur Général d’Ubisoft France ».
Afin de célébrer l’invasion de la pop culture par ces sympathiques agitateurs un peu fêlés, La Poste et Ubisoft ont demandé à Matthieu Gargallo, Thomas Priou et MistaBlatte, respectivement scénariste, dessinateur et coloriste des bandes dessinées The Lapins Crétins, de concevoir le design de ces timbres.
Depuis l’envoi de la lettre jusqu’à sa réception en passant par le collage du timbre, les Lapins Crétins prennent un malin plaisir à détourner nos pratiques épistolaires avec leur humour facétieux.
Ubisoft - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
Télécharger le communiqué de presse