La Poste vous propose de poursuivre pour la quatrième année consécutive un périple autour des timbres d’exception en voyageant autour du patrimoine culturel français.
Le timbre-poste est un fabuleux outil de culture générale, d’apprentissage de disciplines aussi variées que l’histoire, la géographie, les sciences ou les arts.
Pour la troisième année consécutive la série « Patrimoine de France en timbres » inscrite sur 5 ans, présente dix feuillets qui reprennent dix timbres, choisis par un comité d’experts, au travers de dix thématiques : Arts et lettres, Aviation, CroixRouge, La France de nos régions, Histoire postale, Personnages de l’Histoire de France, Patrimoine architectural de la France, Sciences et techniques, Sports et loisirs et Transports.
Explorons la diversité et la richesse de la France au travers de ces 10 timbres réimprimés spécialement pour cette collection : Baudelaire 1821-1867 (1951, PaulPierre Lemagny – Jean Pheulpin), 1841-1925 Clément Ader (1938, Achille Ouvré), L’Enfant à la cage - Croix Rouge (1955, Jules Piel), Martinique - Le Mont Pelé (1955, Paul-Pierre Lemagny - Charles-Paul Dufresne), Journée du timbre 1952 (1952, Henry Cheffer), Moulins - Le Jacquemart (1955, René Cottet), Le Maréchal Foch (1940, Achille Ouvré), 1828-1913 Charles Tellier – Industrie du froid (1956, Claude Hertenberger), Jeu de boules (1958, Raoul Serres) et le Métro Régional (1975, Georges Bétemps).
Toutes les pochettes de dix feuillets de dix timbres différents sont accompagnées d'un feuillet cadeau numéroté reprenant le timbre NAPOLÉON Ier 1769 – 1821 dessiné et gravé par Albert Decaris en 1951. L'ensemble est présenté dans une élégante enveloppe couleur crème. ■
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
Télécharger le communiqué de presseLa Poste émet un timbre de service pour affranchir les courriers au départ du Conseil de l’Europe.
L’égalité entre les femmes et les hommes est essentielle à l’accomplissement de la mission du Conseil de l’Europe : sauvegarder les droits de l’homme, défendre la démocratie et préserver l’État de droit. Elle implique l’égalité des droits pour les femmes et les hommes, les filles et les garçons, ainsi que la même visibilité, l’autonomisation, la responsabilité et la participation, dans toutes les sphères de la vie publique et privée. Elle implique également l’égalité d’accès aux ressources et leur répartition entre les femmes et les hommes.
Dans ce domaine, la nouvelle stratégie du Conseil de l’Europe porte sur six domaines :
1) Prévenir et combattre les stéréotypes de genre et le sexisme.
2) Prévenir et combattre les violences faites aux femmes et les violences domestiques, en particulier grâce à la convention dite d’Istanbul. Ce traité juridiquement contraignant agit pour la prévention de la violence envers les femmes, y compris la violence conjugale et familiale, la protection des victimes et la fin de l’impunité des auteurs des violences
3) Assurer l’égalité d’accès des femmes à la justice, en dépassant les tabous, les préjugés, les stéréotypes de genre, les traditions et l’ignorance et parfois même les lois elles-mêmes.
4) Assurer une participation équilibrée des femmes et des hommes à la prise de décision politique et décision publique. Les membres du Conseil de l’Europe s’engagent aussi à prendre des mesures contre le sexisme et le harcèlement au sein de leurs parlements nationaux.
5) Protéger les droits des femmes et des filles migrantes, réfugiées et demandeuses d’asile, avec une liste de recommandations juridiques et pratiques pour les autorités nationales et locales.
6) Assurer l’intégration de la dimension de genre dans toutes les politiques et mesures et combattre les stéréotypes de genre dans l’éducation, les médias. ■
Conseil de l’Europe - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Internationale 20g
La Poste émet un carnet de 12 timbres-poste illustrés de détails de chefs-d’œuvre de la peinture.
Ce carnet est illustré de chefs-d’oeuvre de l’art, avec un parti pris de rapprochement du regard sur des visages. Ces oeuvres sont de formats divers, intimes ou grands formats, tous conservés au musée du Louvre ou au musée d’Orsay à Paris. Les détails qui illustrent les timbres rappellent à chacun des ‘visages connus’, qu’il a vus dans un livre scolaire, dans une étude sur une période
en histoire de l’art, reconnaissables plus ou moins immédiatement. Ici, le détail d’un autoportrait ou d’un portrait, soit solennel, soit symbolique ou allégorique, là, un visage d’une scène historique, épique, mythologique, ailleurs encore des visages de personnes dans une scène familière, quotidienne... Ces portraits ont des expressions bien individualisées. Les regards de ces personnes peintes à des époques différentes, se croisent dans le carnet, comme s’ils se répondaient, s’interrogeaient, ...ce qui crée une dynamique.
Deux visages connus en peinture et en philatélie sont présents dans ce carnet, tous deux pour illustrer des timbres d’usage courant. L’une est l’héroïne sabine Hersilie qui s’interpose dans le tableau de David entre les Sabins et les Romains ; elle est le visage central du tableau. Le timbre d’usage courant qui la représente est mis en service en décembre 1977. Il est redessiné puis gravé par Pierre Gandon. Le 2ème est le visage de La Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix, redessiné et gravé également par Pierre Gandon pour illustrer le timbre d’usage courant émis le 4 janvier 1982 et en vente jusqu’au 21 septembre 1990.
Essayer de reconnaître les chefs-d’oeuvre d’où sont issus ces visages ! Deviner les auteurs de ces oeuvres ! Le titre du timbre donne la réponse. Mais ne sommes-nous pas d’abord dans l’admiration de 12 talents exceptionnels ? ■
Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
La Poste émet un timbre de la série artistique illustré par une oeuvre originale de Françoise PÉTROVITCH, spécialement créée pour ce timbre.
Il y a une urgence du trait dans le travail de Françoise Pétrovitch, une urgence qui dit le monde. Son oeuvre est foisonnante, protéiforme, elle s’incarne aussi bien dans la peinture que la sculpture, la gravure, la vidéo ou la danse, mais le dessin y sert toujours de ligne de force. Il guide la composition, les vides et les pleins, il introduit le moment où l’on se rend compte que l’on est sorti de la figuration pour entrer dans la couleur, dans l’abstraction.
Le monde de Françoise Pétrovitch est intime, ambigu, inquiétant parfois. Il est traversé d’imaginaires qui se répètent comme des obsessions, des animaux, des enfants, des personnages de contes, Peau d’âne, l’ogre, saint Sébastien. L’artiste invoque les « motifs-traits » qu’elle utilise pour naviguer entre l’intériorité et l’extériorité : les mains, les yeux fermés (ou masqués ou baissés), les figures étendues au sol, qui, elles aussi, reviennent et s’enchaînent jusqu’à la (con)fusion : de l’humain à l’animal, de l’enfance à l’âge adulte, de la présence à l’absence. Dans les dédoublements qui s’accomplissent, on sent l’écho de l’être qui glisse, sa fluidité. On sent aussi le dialogue que Françoise Pétrovitch entretient avec ceux qui, comme elle, ont ressenti l’urgence d’exprimer le monde, des peintres de la préhistoire à Nancy Spero, de Matisse à Marguerite Duras, des maîtres de la nature morte à Louise Bourgeois.
Quant aux histoires déployées dans son travail, elles ne se referment jamais, elles s’ouvrent au contraire, elles laissent pénétrer les rêves, les fragments, les apparitions et les disparitions. On est toujours au bord d’un précipice, dans un monde où les femmes, la nature, l’enfance, le fragile, tout est soumis à la violence qui passe comme un grand vent. Et dans la peinture qu’elle a composée pour le timbre, on voit un jeune garçon et un lézard et, à travers eux, le grand et le petit, le moi et l’autre. Là, le dialogue est un silence.. ■
Catherine Dufour - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g-100g
La Poste émet un timbre sur Le Petit Louvre, ancien relais postal situé dans La Loire, en bordure de la Nationale 7.
Le contour de la feuille est composée de personnages célèbres liés à l'histoire de ce lieu puisque François Ier, le cardinal de Richelieu, Catherine de Médicis y ont fait étape. La borne royale N°24 et la borne kilométrique N7 font écho à l'illustre route Nationale 7. Le cachet de cire et la plume rappellent que le Petit Louvre était avant tout un ancien relais poste.
Sur le grand chemin royal de Paris à Lyon, devenu bien plus tard route nationale 7, le village de La Pacaudière (Loire) était bien connu des voyageurs. Nobles, officiers du roi y faisaient étape dans cet ancien relais de poste du XVIe siècle, qui leur procurait gîte, couvert et surtout montures fraîches… Le Petit Louvre servit aussi de lieu d’accueil à des hôtes de renom : Catherine de Médicis, Louis XIII, et c’est ici que le duc de Richelieu, évêque de Luçon, apprit en septembre 1622 qu’il était nommé cardinal. Des hôtes plus anonymes ont aussi laissé la trace de leur passage, inscrivant sur les murs des dates (1534, 1537…), des noms et prénoms français (« Jean a passé ici 1538 ») ou à consonance étrangère, des pensées (« contre fortune bon cœur » ou « désir un repos »). Ils ont dessiné à la sanguine, à la mine de plomb ou au tison de bois brûlé, des blasons, des croix, un château fort, le Dauphin couronné… Ces émouvants graffiti classés parlent de leurs états d’âme, de leur métier, de leur religion, de l’actualité de l’époque, et donnent de précieux renseignements sur le bâtiment.
Classé monument historique (1932), le Petit Louvre, subtil mélange d’architecture gothique et Renaissance, étonne par ses proportions, avec son impressionnante toiture aux tuiles non émaillées haute de 13 mètres, quand le gros oeuvre ne mesure que 9,75 m. Encadrée par deux pilastres cannelés, la porte d’entrée surmontée d’une coquille sculptée et l’élégante silhouette de la tourelle d’angle aux briques émaillées noires, vertes, jaunes donnent tout son charme à la façade. À l’intérieur, décors peints et fresques du XVIIIe siècle parlent du passé de la bâtisse, tout comme la magnifique charpente en chêne sur trois niveaux qui a toujours protégé le Petit Louvre, tout comme ceux qui, depuis des années, oeuvrent à le restaurer et le faire vivre. ■
Fabienne AZIRE - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
La Poste émet un timbre de service pour affranchir les courriers au départ de l’UNESCO.
Le timbre est illustré par une photo de la Cathédrale Santa Maria del Fiore, située à Florence où se déroulera en novembre la dernière conférence pour célébrer l’anniversaire des 50 ans du patrimoine mondial.
Les 50 prochaines années :
Le patrimoine mondial comme source de résilience, d’humanité et d’innovation
En 2022, la Convention concernant la protection du patrimoine mondial culturel et naturel célèbre son 50e anniversaire. Au cours des cinq dernières décennies, la Convention a protégé et promu les trésors de l’humanité et transformé notre manière de valoriser le patrimoine. Le cinquantenaire de la Convention est célébré à un moment clé alors que le monde évalue l’ampleur des conséquences de la pandémie de COVID-19 sur la vie économique, sociale et culturelle des populations. Si l’on ajoute à cela l’accélération des effets du changement climatique, le contexte international marqué par la recrudescence des conflits ou l’aggravation des inégalités sociales entre les individus, force est de constater l’urgence de mettre en perspective ces nouveaux besoins avec le texte originel de la Convention qui reconnaît l’interaction entre l’être humain et son environnement et le besoin fondamental de préserver l’équilibre entre les deux.
En tant que laboratoire d’idées, l’UNESCO a pour responsabilité de saisir l’opportunité de cette date anniversaire pour réaffirmer sa mission fondamentale qui est de bâtir la paix par le biais de la coopération internationale et rapprocher les populations dans les domaines de l'éducation, de la science et de la culture. C’est pourquoi depuis un an, l’UNESCO a cherché à partager son expertise exhaustive dans ces domaines à travers le lancement d’une réflexion interdisciplinaire sur l’avenir du patrimoine mondial, qui met en relief les accomplissements réalisés par la Convention de 1972 en 50 ans.
Le thème retenu pour cette réflexion est « Les 50 prochaines années : le patrimoine mondial comme source de résilience, d’humanité et d’innovation », qui sera développé autour de tables rondes, conférences, expositions, et rédactions d’articles, notamment, et focalisera en particulier sur les sujets suivants :
● Changement climatique et préservation du patrimoine
● Transformation numérique
● Relance post-COVID-19
● Tourisme durable
● Représentation équilibrée entre les sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial
Ces cinq domaines représentent des défis actuels qui peuvent avoir une influence sur la protection du patrimoine mondial dans les années à venir. En concentrant des réflexions sur ces priorités, les « 50 prochaines années » peuvent générer un fort impact et entraîner une accélération de l’innovation. ■
UNESCO 2022 -Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Internationale 20g
Le Familistère de Guise est un vaste ensemble d’habitation collective érigé pour 2 000 personnes dans une petite ville du département de l’Aisne dans la seconde moitié du XIXe siècle. Il comprend un théâtre, des écoles, une crèche, des magasins, une buanderie, une piscine et des jardins. Pendant près d’un siècle, il est le théâtre d’une expérimentation sociale de grande envergure.
Le Familistère de Guise ou « Palais social » est une utopie concrète inspirée par le phalanstère, le rêve de Charles Fourier (1772-1837). Son concepteur est un ancien ouvrier serrurier autodidacte, qui devient un brillant capitaine d’industrie, un fouriériste enthousiaste et un bâtisseur hors pair. Jean-Baptiste André Godin (1817-1888) crée en 1840 une manufacture de poêles et cuisinières en fonte de fer, il pose la première brique du Familistère en 1858 et il fonde en 1880 l’Association coopérative du capital et du travail, au sein de laquelle les travailleurs et travailleuses sont collectivement propriétaires du Familistère et de ses manufactures. Il s’agit de donner l’exemple réussi d’une alternative à l’organisation économique et sociale de la société capitaliste.
Au XXIe siècle, le Familistère est toujours habité, ses écoles et son théâtre fonctionnent, ses jardins sont librement ouverts. Il est un espace de vie quotidienne et un grand établissement culturel en milieu rural. Depuis 2000, le Palais social, classé aux monuments historiques, est progressivement restauré et aménagé.
Un musée de site consacré au Familistère et aux expérimentations sociales y a été déployé, les saisons de spectacle vivant s’y succèdent, des artistes y séjournent en résidence, des abeilles y essaiment, des entreprises s’y réunissent.
Au XXIe siècle, le Familistère est toujours habité, ses écoles et son théâtre fonctionnent, ses jardins sont librement ouverts. Il est un espace de vie quotidienne et un grand établissement culturel en milieu rural. Depuis 2000, le Palais social, classé aux monuments historiques, est progressivement restauré et aménagé. Un musée de site consacré au Familistère et aux expérimentations sociales y a été déployé, les saisons de spectacle vivant s’y succèdent, des artistes y séjournent en résidence, des abeilles y essaiment, des entreprises s’y réunissent. ■
Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Internationale 20g
La Poste émet un bloc de timbres de la série « la Terre & les Hommes » sur le thème « La Terre fournit notre énergie protégeons-là ».
L’énergie est partout indispensable à toutes les activités humaines. Entre 1973 et 2012, la consommation d’énergie dans le monde a presque doublé.
Les experts de l’EIA (l'Agence d'information sur l'énergie) estiment que la consommation d'énergie pourrait augmenter de près de 50 % à l'échelle mondiale au cours des trente prochaines années, sous le double effet des croissances économiques et démographiques. La dépendance des humains à l’énergie paraît insatiable.
Cependant, la combustion de matière pour rendre cette énergie utilisable par l’Homme , dès lors qu’elle a une origine fossile, c’est-à-dire qu’elle est extraite des profondeurs de la Terre, est responsable d’émissions de gaz à effet de serre qui sont la première cause du réchauffement climatique.
L’Homme est donc confronté à une injonction contradictoire : d’un côté à une exigence de besoins énergétiques de plus en plus élevée ; de l’autre, une consommation excessive d’énergie qui conduit à un dérèglement climatique responsable de dommages irréversibles sur notre environnement au point que la survie même de l’Humanité s’en trouve questionnée.
Face à ce constat inquiétant, des solutions existent pourtant.
La première d’entre elles relève du bon sens : c’est la sobriété énergétique. Nos modes de consommation doivent évoluer pour devenir plus raisonnables et raisonnés : isolation des bâtiments, frugalité dans nos consommations quotidiennes, priorisation de l’usage sur la propriété (est-il bien nécessaire que chacun possède son propre véhicule quand on sait que celui-ci passe 97% de son temps au parking ?), pondération dans nos usages du numérique….
Un autre levier majeur est illustré par ces quatre timbres : l’énergie de l’eau, du vent, du soleil et de la matière vivante. Les énergies renouvelables comme alternatives, offertes gracieusement par la Nature, sont inépuisables et leur usage ne génère pas d’émission de CO2.
La Terre fournit notre énergie, protégeons-la. ■
Direction de l’Engagement Sociétal, Groupe La Poste -Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g
La Poste émet un timbre sur les chiens guides d’aveugles.
C’est pour faciliter la vie de René Blin, un ami qui a perdu la vue à l’âge de 8 ans, qu’en 1952 Paul Corteville, ouvrier du textile, s’essaye à éduquer Dickie, une chienne berger allemand. Ce sera le premier chien guide remis en France. Témoin de l’autonomie que Dickie apporte à son ami, Paul Corteville n’aura de cesse de développer l’éducation et l’élevage des chiens guides. Forte de cet héritage, la Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles (FFAC) marche dans ses pas avec les associations affiliées depuis 50 ans.
La chaîne de solidarité qui s’est formée autour du chien guide fonctionne si bien que l’on en oublierait presque combien le pari était fou au départ : réunir tout un petit monde – familles d’accueil, bénévoles, salariés, donateurs – pour élever, éduquer et remettre gratuitement des chiens capables de guider les personnes déficientes visuelles en toute sécurité.
Le chien guide est une aide sans égale pour affronter les obstacles lors des déplacements du quotidien. Grâce à son éducation de près de deux ans dans une association de chiens guides labélisée, il sait répondre à 50 ordres différents.
Il a appris à repérer tout ce qui pourrait gêner le passage de son maître, à se diriger entre les passants sans perdre le cap, à s’arrêter pour signaler une marche, un bord de trottoir, de quai de gare. Il est également un précieux compagnon, auprès duquel le maître va pouvoir reprendre confiance en lui dans sa vie quotidienne et au sein de la société.
Qui n’a jamais croisé dans la rue un chien guide d’aveugle et son maître ? Cet animal d’exception devient non seulement les yeux et le guide de son maître, mais il lui permet aussi d’accéder à une vie sociale plus épanouie. ■
Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles - Tous droits réservés
Affranchissement pour Lettre Verte 20g